Vers un renforcement des conditions d'emploi et de formation
Durant sa conférence de presse du début de l'année, Emmanuel Macron a annoncé l'introduction d'un Acte II dans la réforme du marché du travail initiée en 2017. Cette nouvelle phase, qui sera initiée dès le printemps, a pour but de stimuler la création et la reprise d'emplois, ainsi que d'améliorer l'accompagnement des chômeurs, notamment par la formation et des aides pratiques relatives au logement et au transport. Cette annonce intervient dans un contexte où les discussions sur l'emploi des salariés seniors et l'assurance-chômage restent des sujets prédominants.
Pour « inciter à la création ou à la reprise d'un emploi », le chef de l'État n'a pas hésité à évoquer « des règles plus sévères quand des offres d'emploi sont refusées ». Pas de quoi rassurer tous ceux qui avaient déjà trouvé que le précédent serrage de vis était allé trop loin.
Pour « inciter à la création ou à la reprise d'un emploi », le chef de l'État n'a pas hésité à évoquer « des règles plus sévères quand des offres d'emploi sont refusées ». Pas de quoi rassurer tous ceux qui avaient déjà trouvé que le précédent serrage de vis était allé trop loin.
Un marché du travail en ébullition
La mise en œuvre de ces réformes incombe à la nouvelle ministre du Travail, Catherine Vautrin. Son prédécesseur, Olivier Dussopt, avait déjà évoqué la nécessité d'un tel acte, soulignant l'importance d'une plus grande flexibilité, mobilité, anticipation, et simplification dans le marché du travail.
Parmi les sujets de préoccupation figurent la durée de contestation judiciaire des licenciements et la question du dialogue social dans les entreprises dépourvues de syndicats. Emmanuel Macron a également exprimé le désir d'accélérer la formation des actifs pour répondre aux besoins du pays, suggérant des réformes potentielles dans l'enseignement professionnel et universitaire.
La nouvelle réforme envisagée par le président de la République vise à résoudre des problématiques actuelles du marché du travail, notamment le manque de main-d'œuvre dans des secteurs clés comme l'agriculture, la restauration, l'artisanat, mais aussi des domaines d'avenir comme le nucléaire et le numérique.
Parmi les sujets de préoccupation figurent la durée de contestation judiciaire des licenciements et la question du dialogue social dans les entreprises dépourvues de syndicats. Emmanuel Macron a également exprimé le désir d'accélérer la formation des actifs pour répondre aux besoins du pays, suggérant des réformes potentielles dans l'enseignement professionnel et universitaire.
La nouvelle réforme envisagée par le président de la République vise à résoudre des problématiques actuelles du marché du travail, notamment le manque de main-d'œuvre dans des secteurs clés comme l'agriculture, la restauration, l'artisanat, mais aussi des domaines d'avenir comme le nucléaire et le numérique.