Le groupe automobile français a engrangé des ventes à hauteur de 58,77 milliards d'euros, un chiffre en hausse de près de 15% par rapport à l'exercice précédent. La marge opérationnelle s'affiche à 6,6%, soit 0,2 point de plus qu'en 2016 (du jamais vu pour le constructeur). Le bénéfice net, il s'établit à 5,11 milliards d'euros, en progression de… 49,6% sur un an. Quant au résultat opérationnel, il est de 3,85 milliards, au-delà du consensus des analystes. Le chiffre d'affaires en revanche est en retrait par rapport aux attentes du marché (59,2 milliards).
Pour 2018, le constructeur automobile a pour objectif d'atteindre une hausse de 2,5% de la demande mondiale, et une marge opérationnelle qui se situe au-delà des 6%. Ce sont là des résultats très solides qui souligne une « année record », selon la directrice financière de Renault, Clotilde Delbos, qui souligne la performance du groupe sur des marchés porteurs. Le tout sous la présidence de Carlos Ghosn, qui a été reconduit pour quatre ans à la tête de l'entreprise. Ce jeudi, le conseil d'administration l'a confirmé, tout comme la nomination d'un numéro 2, Thierry Bolloré, devenu directeur général adjoint.
De quoi rassurer les marchés : la direction de Renault s'appuie sur une équipe expérimentée qui prépare l'avenir. C'est d'ailleurs le mandat de Carlos Ghosn, 63 ans, qui devra « engager les étapes décisives permettant de rendre l'alliance [avec Nissan et Mitsubishi] pérenne ». Le patron de Renault va s'y employer : « L'alliance, je suis convaincu qu'elle est irréversible, mais nous voulons nous assurer que tout le monde en soit convaincu aussi », a-t-il ainsi déclaré.
Pour 2018, le constructeur automobile a pour objectif d'atteindre une hausse de 2,5% de la demande mondiale, et une marge opérationnelle qui se situe au-delà des 6%. Ce sont là des résultats très solides qui souligne une « année record », selon la directrice financière de Renault, Clotilde Delbos, qui souligne la performance du groupe sur des marchés porteurs. Le tout sous la présidence de Carlos Ghosn, qui a été reconduit pour quatre ans à la tête de l'entreprise. Ce jeudi, le conseil d'administration l'a confirmé, tout comme la nomination d'un numéro 2, Thierry Bolloré, devenu directeur général adjoint.
De quoi rassurer les marchés : la direction de Renault s'appuie sur une équipe expérimentée qui prépare l'avenir. C'est d'ailleurs le mandat de Carlos Ghosn, 63 ans, qui devra « engager les étapes décisives permettant de rendre l'alliance [avec Nissan et Mitsubishi] pérenne ». Le patron de Renault va s'y employer : « L'alliance, je suis convaincu qu'elle est irréversible, mais nous voulons nous assurer que tout le monde en soit convaincu aussi », a-t-il ainsi déclaré.
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