Conséquence : les triangles sont plus espacés, provoquant la colère des consommateurs anglais. La société Mondelez, qui fabrique Toblerone, a réduit le poids de sa barre de chocolat de 10% environ : la barre de 400 grammes ne pèse plus que 360 grammes, celle de 170 grammes perd 20 grammes. Il s’agissait pour le chocolatier de ne pas augmenter ses prix outre Manche.
Mondelez n’a pas invoqué le Brexit et la chute de la livre sterling pour cette réduction du poids (et des triangles) de son fameux produit. C’est le coût des matières premières, en hausse, qui a poussé l’industriel de l’agro-alimentaire à agir ainsi, assure-t-il. Sur sa page Facebook, l’entreprise explique avoir supporté cette montée des coûts tant qu’elle a pu en rognant ses marges, mais pour conserver un prix abordable dans les rayons, il importait d’augmenter l’espacement entre les triangles, d’un demi-centimètre.
Les consommateurs britanniques ont immédiatement rejeté cette justification, la qualifiant de ridicule, voire de stupide. Beaucoup demandent à Mondelez de revenir sur sa décision, en augmentant les prix sans réduire le nombre de triangles. Après tout, Toblerone est un chocolat premium consommé par des ménages plutôt aisés, qui peuvent supporter une hausse des prix.
Mondelez n’a pas invoqué le Brexit et la chute de la livre sterling pour cette réduction du poids (et des triangles) de son fameux produit. C’est le coût des matières premières, en hausse, qui a poussé l’industriel de l’agro-alimentaire à agir ainsi, assure-t-il. Sur sa page Facebook, l’entreprise explique avoir supporté cette montée des coûts tant qu’elle a pu en rognant ses marges, mais pour conserver un prix abordable dans les rayons, il importait d’augmenter l’espacement entre les triangles, d’un demi-centimètre.
Les consommateurs britanniques ont immédiatement rejeté cette justification, la qualifiant de ridicule, voire de stupide. Beaucoup demandent à Mondelez de revenir sur sa décision, en augmentant les prix sans réduire le nombre de triangles. Après tout, Toblerone est un chocolat premium consommé par des ménages plutôt aisés, qui peuvent supporter une hausse des prix.