Entre cet hiver et le printemps 2019, Ryanair a l'ambition d'ouvrir dix nouvelles lignes accompagnées de bases régionales en France. La compagnie aérienne a d'ores et déjà commencé à discuter avec plusieurs aéroports régionaux (Beauvais, Nantes, Lyon, etc.). Quatre bases au moins devraient être installées, qui permettront à une trentaine de Boeing 737 de décoller le matin pour y revenir le soir. Sans base, l'avion doit arriver le matin pour repartir le soir : être immédiatement présent sur place représente un gain de temps et d'économie important.
Pour appuyer ces ouvertures, la compagnie a l'intention d'embaucher 1 000 personnes, dont 300 pilotes. Eddie Wilson, le directeur des ressources humaines de Ryanair, précise que ces contrats seront de droit français : un détail qui a son importance au vu des déboires de l'entreprise dans le domaine social. Les dirigeants de la société ont pris les devants en rencontrant à l'avance le SNPL, le plus important syndicat de pilotes de ligne en France.
La rencontre, qualifiée de « relax », a permis d'établir un climat de confiance entre les deux parties. Si Ryanair montre désormais patte blanche, c'est aussi parce que le climat des affaires a évolué en France avec de nouvelles législations plus favorables. La compagnie a pour objectif d'atteindre un trafic passagers de 20 millions de personnes d'ici 2021 ou 2022. Soit le double de ce qu'enregistre l'entreprise en France actuellement.
Pour appuyer ces ouvertures, la compagnie a l'intention d'embaucher 1 000 personnes, dont 300 pilotes. Eddie Wilson, le directeur des ressources humaines de Ryanair, précise que ces contrats seront de droit français : un détail qui a son importance au vu des déboires de l'entreprise dans le domaine social. Les dirigeants de la société ont pris les devants en rencontrant à l'avance le SNPL, le plus important syndicat de pilotes de ligne en France.
La rencontre, qualifiée de « relax », a permis d'établir un climat de confiance entre les deux parties. Si Ryanair montre désormais patte blanche, c'est aussi parce que le climat des affaires a évolué en France avec de nouvelles législations plus favorables. La compagnie a pour objectif d'atteindre un trafic passagers de 20 millions de personnes d'ici 2021 ou 2022. Soit le double de ce qu'enregistre l'entreprise en France actuellement.