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Une aubaine pour les voyageurs près de leurs sous, puisqu’en 2016, le billet moyen coûtera 40 euros, contre 46 euros actuellement. Cette baisse des prix est largement due au pétrole dont les prix ne cessent de reculer. Les aéroports désireux d’accueillir la compagnie aérienne font également des pieds et des mains, et ils n’hésitent pas à baisser fortement leurs tarifs.
« Nous continuons aussi à voir le nombre de passagers que nous transportons augmenter et à baisser nos coûts ». Ryanair a ainsi fait voyager 11% de personnes supplémentaires, soit 90,5 millions de voyageurs l’an dernier. Le 100 millions ne sont donc pas loin : ce seuil pourrait être atteint dès cette année, avec un objectif de 160 millions en 2024.
Ces prix de plus en plus bas ne se réalisent toutefois pas sur le dos de la sécurité, assure le bouillant patron. Ryanair dispose d’une flotte d’avions neufs, rappelle-t-il. Et elle continue de grossir de 10% par an selon le calendrier de Boeing. Pour finir, O’Leary, qui n’est pas connu pour son sens du dialogue social, n’a pu s’empêcher d’envoyer une pique contre la politique économique de la France, se demandant qui voulait embaucher des gens en France. « Vous avez vu la fiscalité, le droit du travail? Nous avons du personnel en Espagne, en Italie, en Allemagne, mais pas en France à cause de cette folie administrative ».
« Nous continuons aussi à voir le nombre de passagers que nous transportons augmenter et à baisser nos coûts ». Ryanair a ainsi fait voyager 11% de personnes supplémentaires, soit 90,5 millions de voyageurs l’an dernier. Le 100 millions ne sont donc pas loin : ce seuil pourrait être atteint dès cette année, avec un objectif de 160 millions en 2024.
Ces prix de plus en plus bas ne se réalisent toutefois pas sur le dos de la sécurité, assure le bouillant patron. Ryanair dispose d’une flotte d’avions neufs, rappelle-t-il. Et elle continue de grossir de 10% par an selon le calendrier de Boeing. Pour finir, O’Leary, qui n’est pas connu pour son sens du dialogue social, n’a pu s’empêcher d’envoyer une pique contre la politique économique de la France, se demandant qui voulait embaucher des gens en France. « Vous avez vu la fiscalité, le droit du travail? Nous avons du personnel en Espagne, en Italie, en Allemagne, mais pas en France à cause de cette folie administrative ».