Le syndicat a déclenché une demande de concertation immédiate pour le 27 juillet, une procédure qui conduit habituellement à un préavis de grève. La CGT demande aux cheminots de se tenir « prêt » pour une nouvelle journée d’arrêt de travail, alors que la SNCF dévoilera les résultats de son premier semestre. À cette occasion, on saura précisément l’impact financier de la grève qui s’est déroulée par intermittences du 3 avril au 28 juin : 36 jours d’arrêt de travail en tout qui ont perturbé de nombreux voyageurs.
Ce mouvement avait été organisé par les quatre syndicats représentatifs de la SNCF, à savoir la CGT, la CFDT, SUD et l’Unsa. L’intersyndicale a tenu jusqu’au bout de la mobilisation, jusqu’au vote de la loi réformant le groupe de transport. La CGT et SUD ont malgré tout continué le combat avec deux journées de grève les 6 et 7 juillet qui ont peu mobilisé. L’arrêt de travail programmé le 27 juillet sera-t-il aussi peu suivi ? Quoi qu’il en soit, les partenaires sociaux de la SNCF sont passés à un autre dossier, celui de la négociation de la convention collective nationale de la branche ferroviaire.
Cette convention collective remplacera le recrutement au statut à partir de 2020. Une première table ronde, organisée le 15 juin, entre les syndicats et le patronat n’aurait pas permis de « dissiper les craintes » des organisations du personnel. Elles craignent que le patronat ne veuille pas construire une convention collective « de haut niveau ». Les discussions sur ce dossier sont loin d’être terminées.
Ce mouvement avait été organisé par les quatre syndicats représentatifs de la SNCF, à savoir la CGT, la CFDT, SUD et l’Unsa. L’intersyndicale a tenu jusqu’au bout de la mobilisation, jusqu’au vote de la loi réformant le groupe de transport. La CGT et SUD ont malgré tout continué le combat avec deux journées de grève les 6 et 7 juillet qui ont peu mobilisé. L’arrêt de travail programmé le 27 juillet sera-t-il aussi peu suivi ? Quoi qu’il en soit, les partenaires sociaux de la SNCF sont passés à un autre dossier, celui de la négociation de la convention collective nationale de la branche ferroviaire.
Cette convention collective remplacera le recrutement au statut à partir de 2020. Une première table ronde, organisée le 15 juin, entre les syndicats et le patronat n’aurait pas permis de « dissiper les craintes » des organisations du personnel. Elles craignent que le patronat ne veuille pas construire une convention collective « de haut niveau ». Les discussions sur ce dossier sont loin d’être terminées.