La Smart, dont la production à Hambach a débuté en 1998, était maintenu à bout de bras par Daimler. Le groupe automobile, propriétaire de Mercedes-Benz, n’a jamais pu trouver la rentabilité dans cette activité : les pertes annuelles pouvaient monter jusqu’à 700 millions d’euros chaque année. Le salut viendra peut-être de l’électrique… et de la Chine. Le constructeur chinois Geely, qui possède déjà la marque Volvo, a acquis 50% du capital de la Smart. Et il entend délocaliser la production du petit véhicule en Chine.
Malgré les efforts répétées de Daimler, les ventes de la Smart ont toujours eu du mal à décoller : l’an dernier, il s’en était vendu moins de 8 000 en France, un volume en recul de plus de 8%. Le désengagement du groupe allemand ne signifie cependant pas l’arrêt de toute activité sur le site de Hambach, qui emploie 800 personnes : « Tous les emplois seront pérennisés à travers notre nouveau projet industriel qui consistera à créer une nouvelle ligne d'assemblage pour la construction d'un SUV électrique de la marque Mercedes à Hambach », a expliqué Serge Siebert, le PDG de Smart France, au Républicain Lorrain.
Daimler a ainsi annoncé, au printemps dernier, un investissement de 500 millions d’euros afin de développer une ligne de production de véhicules électriques à Hambach. Le site va continuer à assembler des Smart jusqu’en 2022, mais des modèles électriques, délaissant ainsi les modèles thermiques. Reste à connaitre l’impact de cette décision auprès des sous-traitants : les conséquences pour l’emploi pourraient être importantes.
Malgré les efforts répétées de Daimler, les ventes de la Smart ont toujours eu du mal à décoller : l’an dernier, il s’en était vendu moins de 8 000 en France, un volume en recul de plus de 8%. Le désengagement du groupe allemand ne signifie cependant pas l’arrêt de toute activité sur le site de Hambach, qui emploie 800 personnes : « Tous les emplois seront pérennisés à travers notre nouveau projet industriel qui consistera à créer une nouvelle ligne d'assemblage pour la construction d'un SUV électrique de la marque Mercedes à Hambach », a expliqué Serge Siebert, le PDG de Smart France, au Républicain Lorrain.
Daimler a ainsi annoncé, au printemps dernier, un investissement de 500 millions d’euros afin de développer une ligne de production de véhicules électriques à Hambach. Le site va continuer à assembler des Smart jusqu’en 2022, mais des modèles électriques, délaissant ainsi les modèles thermiques. Reste à connaitre l’impact de cette décision auprès des sous-traitants : les conséquences pour l’emploi pourraient être importantes.
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