Cette transaction, facilitée par la chute de la livre sterling, va placer une entreprise en forte croissance entre les mains du troisième opérateur de téléphonie japonais, qui a aussi un pied aux États-Unis au travers de l’opérateur Sprint. La somme est une des plus importantes jamais réalisées par le groupe, qui espère ainsi se renforcer dans le secteur de l’internet des objets, un marché en forte croissance qui exploite des processeurs ARM.
ARM n’est pas un fabricant de processeurs à proprement parler. L’entreprise conçoit des processeurs basse consommation à destination des produits mobiles, smartphones en tête, qu’elle vend sous licence à des constructeurs comme Apple ou Samsung. Charge ensuite à ces derniers d’adapter ces designs et de les produire en grande quantité. SoftBank achète donc de la matière grise plutôt que des lignes de production.
ARM a réussi à s’imposer sur le marché de la téléphonie mobile aux dépens d’Intel, qui n’a pas su faire évoluer ses processeurs de PC classiques vers des modèles mieux adaptés à la mobilité. ARM a été fondé en 1990 et emploie 4 000 personnes dans le monde.
ARM n’est pas un fabricant de processeurs à proprement parler. L’entreprise conçoit des processeurs basse consommation à destination des produits mobiles, smartphones en tête, qu’elle vend sous licence à des constructeurs comme Apple ou Samsung. Charge ensuite à ces derniers d’adapter ces designs et de les produire en grande quantité. SoftBank achète donc de la matière grise plutôt que des lignes de production.
ARM a réussi à s’imposer sur le marché de la téléphonie mobile aux dépens d’Intel, qui n’a pas su faire évoluer ses processeurs de PC classiques vers des modèles mieux adaptés à la mobilité. ARM a été fondé en 1990 et emploie 4 000 personnes dans le monde.