Dépenses des consommateurs stables après la tempête de janvier
Les dépenses des consommateurs sont restées stables entre le mois de janvier et celui de février, observe l'Insee dans sa dernière note sur la consommation des ménages. Les achats de bien manufacturés ont augmenté de 3,4 %, mais les dépenses en énergie ont reculé de 3,1 % et les achats de biens alimentaires ont baissé de 2,2 %. Les consommateurs ont acheté davantage de biens durables, par exemple pou équiper le logement ou pour acquérir du matériel de transport : cette catégorie a enregistré une progression des achats de 2,3 % après une chute brutale de 10,3 % en janvier.
Les ventes de biens d'habillement et de textile progressent fortement, de 15,8 % après un recul important de 28 % en janvier. Selon l'Insee, c'est la conséquence du décalage et de l'extension de la période des soldes qui expliquent ce fort rebond. Mais ce dernier a peut-être été limité en raison de la fermeture des centres commerciaux non alimentaires de plus de 20.000 mètres carrés et du renforcement des contraintes sanitaires. Cela se ressent sur le niveau des dépenses dans l'habillement-textile, qui est 4,6 % inférieur à celui enregistré l'an dernier à la même époque.
Les ventes de biens d'habillement et de textile progressent fortement, de 15,8 % après un recul important de 28 % en janvier. Selon l'Insee, c'est la conséquence du décalage et de l'extension de la période des soldes qui expliquent ce fort rebond. Mais ce dernier a peut-être été limité en raison de la fermeture des centres commerciaux non alimentaires de plus de 20.000 mètres carrés et du renforcement des contraintes sanitaires. Cela se ressent sur le niveau des dépenses dans l'habillement-textile, qui est 4,6 % inférieur à celui enregistré l'an dernier à la même époque.
Une inflation en hausse
L'inflation a de son côté été mesurée à 1,1 % sur un an au mois de mars. Elle s'était établie à 0,6 % seulement en février. L'institut relève que les prix de l'énergie ont augmenté de manière significative (+4,8 %), quand ceux des services ont progressé de 1,1 %. Les produits alimentaires frais ont également connu une embardée à 3,8 %. En revanche, les prix des produits manufacturés ont connu une quasi-stabilité à +0,2 %.
L'Insee retient que les prix à la consommation ont augmenté de 0,6 % en mars (ils avaient été stables en février). Si les biens manufacturés ont enregistré une forte hausse de leurs prix, c'est en lien avec la fin des soldes d'hiver. Et d'après cette note mensuelle, les prix des services et ceux de l'énergie ralentiraient légèrement en mars par rapport à février.
L'Insee retient que les prix à la consommation ont augmenté de 0,6 % en mars (ils avaient été stables en février). Si les biens manufacturés ont enregistré une forte hausse de leurs prix, c'est en lien avec la fin des soldes d'hiver. Et d'après cette note mensuelle, les prix des services et ceux de l'énergie ralentiraient légèrement en mars par rapport à février.