Depuis le début de l’épidémie de grippe qui a débuté mi-janvier, la mortalité hivernale « est supérieure de 19% à la mortalité hivernale attendue, calculée à partir des huit années précédentes, soit un excès estimé à 8.500 décès », explique l’InVS. La grippe n’est pas la seule responsable de cette surmortalité, d’autres causes pouvant s’y ajouter.
Mais l’Institut reconnait toutefois qu’il existe un « faisceau » d’arguments pour mettre au banc des accusés la grippe, qui « a joué un rôle important dans l'excès de mortalité » cet hiver. Et les résultats ne sont que provisoires, l’épidémie se poursuivant actuellement. 2015 pourrait donc marquer une forte surmortalité à l’image d’autres années particulièrement virulentes : durant les hivers 2008-2009 et 2012-2013, l’InVS avait enregistré environ 10 000 décès supplémentaires.
Habituellement, la surmortalité hivernale se compte en quelques milliers de décès, voire moins. Cette année 2015 devrait donc se hisser parmi les plus élevées. Et à chaque fois, ce sont les personnes âgées de 65 ans et plus qui sont majoritairement frappées, ce dans toutes les régions.
Mais l’Institut reconnait toutefois qu’il existe un « faisceau » d’arguments pour mettre au banc des accusés la grippe, qui « a joué un rôle important dans l'excès de mortalité » cet hiver. Et les résultats ne sont que provisoires, l’épidémie se poursuivant actuellement. 2015 pourrait donc marquer une forte surmortalité à l’image d’autres années particulièrement virulentes : durant les hivers 2008-2009 et 2012-2013, l’InVS avait enregistré environ 10 000 décès supplémentaires.
Habituellement, la surmortalité hivernale se compte en quelques milliers de décès, voire moins. Cette année 2015 devrait donc se hisser parmi les plus élevées. Et à chaque fois, ce sont les personnes âgées de 65 ans et plus qui sont majoritairement frappées, ce dans toutes les régions.