François Hollande l’a ainsi affirmé durant un colloque sur « La gauche au pouvoir », dans le cadre du 80e anniversaire du Front populaire : « À ce stade des négociations, la France dit non » au traité, a affirmé le président de la République. « Nous ne sommes pas pour le libre-échange sans règle », a-t-il poursuivi.
La divulgation des documents par Greenpeace a mis sur la place publique les discussions entre les deux parties. « Jamais nous n'accepterons la mise en cause des principes essentiels pour notre agriculture, notre culture, pour la réciprocité pour l'accès aux marchés publics », a déclaré François Hollande, bien conscient du rejet de ce texte par une majorité des Français.
Il a poursuivi : « Nous avons posé des principes dans le cadre des négociations commerciales internationales. Je pense aux normes sanitaires, alimentaires, sociales, culturelles, environnementales ». Les documents dévoilés par Greenpeace montraient que les États-Unis et l’Union européenne pourraient être tentés de faire des compromis au détriment de l’environnement et de la santé.
La divulgation des documents par Greenpeace a mis sur la place publique les discussions entre les deux parties. « Jamais nous n'accepterons la mise en cause des principes essentiels pour notre agriculture, notre culture, pour la réciprocité pour l'accès aux marchés publics », a déclaré François Hollande, bien conscient du rejet de ce texte par une majorité des Français.
Il a poursuivi : « Nous avons posé des principes dans le cadre des négociations commerciales internationales. Je pense aux normes sanitaires, alimentaires, sociales, culturelles, environnementales ». Les documents dévoilés par Greenpeace montraient que les États-Unis et l’Union européenne pourraient être tentés de faire des compromis au détriment de l’environnement et de la santé.