© Shutterstock/EconomieMatin
Malgré tous les égards que la profession reçoit de la part des autorités, il reste encore de sérieuses pierres d'achoppement entre les taxis et les VTC. Les premiers accusent les seconds de marcher sur leurs platebandes, tout en n'ayant pas la fameuse « plaque » à rembourser.
Les manifestations violentes se sont succédées, une vingtaine de chauffeurs ont été interpellés. Des exactions dangereuses et des altercations entre taxis et VTC qui ont fait réagir Manuel Valls : le premier Ministre a déclaré qu'il s'agissait de violences « inadmissibles » (en plein état d'urgence, ce qui est encore plus étonnant). Malgré tout, il a aussi annoncé un renforcement des contrôles et ouvert la porte de Matignon aux manifestants.
Suite à la réunion, il a lancé l'ouverture d'une concertation sur l'équilibre économique du secteur afin de faire évoluer, au besoin, la législation — déjà très favorable aux taxis. Plusieurs syndicats dont FO, mécontents de ces annonces, ont fait savoir que les actions se poursuivront dans les jours à venir.
Les manifestations violentes se sont succédées, une vingtaine de chauffeurs ont été interpellés. Des exactions dangereuses et des altercations entre taxis et VTC qui ont fait réagir Manuel Valls : le premier Ministre a déclaré qu'il s'agissait de violences « inadmissibles » (en plein état d'urgence, ce qui est encore plus étonnant). Malgré tout, il a aussi annoncé un renforcement des contrôles et ouvert la porte de Matignon aux manifestants.
Suite à la réunion, il a lancé l'ouverture d'une concertation sur l'équilibre économique du secteur afin de faire évoluer, au besoin, la législation — déjà très favorable aux taxis. Plusieurs syndicats dont FO, mécontents de ces annonces, ont fait savoir que les actions se poursuivront dans les jours à venir.
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