Il ne reste plus grand chose de cette acquisition à grands frais aujourd’hui. En juillet 2014, Microsoft annonçait un gigantesque plan de restructuration de 18 000 postes, qui se sont ensuite accompagnés l’année suivante par 7 800 suppressions supplémentaires, puis par une charrette de 1 850 postes en mai dernier. On pensait la curée terminée, mais il n’en est rien : l’éditeur de Windows a annoncé une coupe claire qui va supprimer 2 850 emplois.
Il s’agit pour Microsoft du résultats de « l’évaluation périodique afin de mieux déployer les ressources de l’entreprise ». Une évaluation qui marque, s’il le fallait encore, la défaite du groupe sur le marché de la téléphonie mobile. Windows 10 Mobile et les smartphones Lumia construits par l’entreprise n’ont pas su s’imposer face aux iPhone d’Apple et aux téléphones sous Android de Samsung, LG et aux autres.
L’an dernier, Microsoft inscrivait une charge exceptionnelle de 7 milliards de dollars pour faire face aux nombreux départs dans sa division mobile. Si on y ajoute les plans de licenciements qui ont suivi, la somme ne sera sans doute pas suffisante. En tout, Nokia n’aura donc pas rapporté grand chose à Microsoft, pire : cette activité aura coûté bien cher.
Il s’agit pour Microsoft du résultats de « l’évaluation périodique afin de mieux déployer les ressources de l’entreprise ». Une évaluation qui marque, s’il le fallait encore, la défaite du groupe sur le marché de la téléphonie mobile. Windows 10 Mobile et les smartphones Lumia construits par l’entreprise n’ont pas su s’imposer face aux iPhone d’Apple et aux téléphones sous Android de Samsung, LG et aux autres.
L’an dernier, Microsoft inscrivait une charge exceptionnelle de 7 milliards de dollars pour faire face aux nombreux départs dans sa division mobile. Si on y ajoute les plans de licenciements qui ont suivi, la somme ne sera sans doute pas suffisante. En tout, Nokia n’aura donc pas rapporté grand chose à Microsoft, pire : cette activité aura coûté bien cher.