Le groupe des partisans du gel de la production mondiale de pétrole s'est renforcé avec les Émirats arabes unis, qui se sont prononcés en faveur de cette initiative. L'Arabie saoudite a fait savoir qu'elle était prête à réduire sa production si l'Iran acceptait un plafonnement de sa propre production. Mais les pays de l'OPEP sont encore loin de pouvoir gagner à ce jeu de Monopoly à l'échelle mondiale.
Tous les joueurs ne s'entendent pas entre eux. L'Iran, qui fait cavalier seul depuis la levée de l'embargo international qui frappait le pays depuis des années, cherche à retrouver son niveau de production d'avant les restrictions. Le ministre iranien du pétrole a fait savoir que la réunion à Alger était « purement consultative » et qu'il ne fallait pas en attendre grand chose.
Un coup d'épée dans l'eau donc, en attendant un nouveau sommet de l'OPEP, en novembre, à Vienne. Les pays producteurs de pétrole sauront-ils accorder leurs violons d'ici là ? Là aussi, rien n'est moins sûr. L'Iran ne se laissera pas convaincre si facilement de geler sa production.
Tous les joueurs ne s'entendent pas entre eux. L'Iran, qui fait cavalier seul depuis la levée de l'embargo international qui frappait le pays depuis des années, cherche à retrouver son niveau de production d'avant les restrictions. Le ministre iranien du pétrole a fait savoir que la réunion à Alger était « purement consultative » et qu'il ne fallait pas en attendre grand chose.
Un coup d'épée dans l'eau donc, en attendant un nouveau sommet de l'OPEP, en novembre, à Vienne. Les pays producteurs de pétrole sauront-ils accorder leurs violons d'ici là ? Là aussi, rien n'est moins sûr. L'Iran ne se laissera pas convaincre si facilement de geler sa production.