(c) Shutterstock/EconomieMatin
De fait, ils étaient nombreux à appeler au départ du secrétaire général. Et ils ont fini par obtenir ce qu'ils souhaitaient, même si Thierry Lepaon, rompu aux exercices d'évitement, a tenté une ultime pirouette en s'associant à l'action menée par les huit autres membres du bureau confédéral ayant décidé de remettre leur mandat au comité central national, le « parlement » du syndicat.
La manœuvre ayant échoué, Thierry Lepaon n'a pas eu d'autre choix que de démissionner de son poste, au grand soulagement de beaucoup. Il y aura donc un nouveau secrétaire général du syndicat la semaine prochaine, a-t-il simplement déclaré devant la commission exécutive, sorte de gouvernement de l'organisation. Cette démission est au passage une première depuis 1909 et Victor Griffuelhes…
Il reste maintenant à choisir qui succèdera à Thierry Lepaon, qui aura la lourde charge de remettre le syndicat sur les bons rails. Plusieurs noms circulent comme celui de Philippe Martinez, le patron de la Fédération de la métallurgie. Mais la direction pourrait être confiée à un collège emmené par une autorité morale, et pourquoi Bernard Thibault l'ancien secrétaire général.
La manœuvre ayant échoué, Thierry Lepaon n'a pas eu d'autre choix que de démissionner de son poste, au grand soulagement de beaucoup. Il y aura donc un nouveau secrétaire général du syndicat la semaine prochaine, a-t-il simplement déclaré devant la commission exécutive, sorte de gouvernement de l'organisation. Cette démission est au passage une première depuis 1909 et Victor Griffuelhes…
Il reste maintenant à choisir qui succèdera à Thierry Lepaon, qui aura la lourde charge de remettre le syndicat sur les bons rails. Plusieurs noms circulent comme celui de Philippe Martinez, le patron de la Fédération de la métallurgie. Mais la direction pourrait être confiée à un collège emmené par une autorité morale, et pourquoi Bernard Thibault l'ancien secrétaire général.
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