La politique de David Cameron et de son gouvernement en faveur du gaz de schiste, qui est passée, entre autre, par des facilitations et des réductions fiscales afin d’attirer les investisseurs et, notamment, les géants du pétrole, aura porté ces fruits. L’entrée de Total dans le secteur marque l’entrée des géants du pétrole sur le territoire britannique pour le gaz de schiste.
Le partenariat, signé ce lundi 13 janvier 2014, concerne en particulier deux permis d’exploration détenus par IGas Energy dans le Lincolnshire, à l’Est du Royaume-Uni. Total va y investir près de 15 millions d’euros et obtenir en retour 40% des droits d’exploitation et d’exploration.
Le Royaume-Uni mise beaucoup sur le gaz de schiste pour asseoir son indépendance énergétique depuis que le British Geological Survey a estimé ses réserves à près de 3 600 milliards de mètres cubes de gaz. Mais l’opinion publique n’est pas favorable à cette exploitation.
Le gaz de schiste soulève en effet des questions environnementales à cause de la technique utilisée, la fracturation hydraulique, accusée de polluer les nappes phréatiques à cause des larges quantités d’eau et d’additifs injectés dans le sol pour fracturer la roche où est emprisonné le gaz.
Malgré les critiques, le gouvernement de David Cameron a toujours soutenu cette exploitation et, pas plus tard que la semaine dernière, a annoncé des aides et des retournées économiques aux communes sur lesquelles se ferait l’exploitation du schiste.
La signature de ce partenariat a été saluée à la fois par Patrice de Vivies, vice-président de Total pour l’Europe du Nord et par Andrew Austin, directeur exécutif de IGas Energy.
Le partenariat, signé ce lundi 13 janvier 2014, concerne en particulier deux permis d’exploration détenus par IGas Energy dans le Lincolnshire, à l’Est du Royaume-Uni. Total va y investir près de 15 millions d’euros et obtenir en retour 40% des droits d’exploitation et d’exploration.
Le Royaume-Uni mise beaucoup sur le gaz de schiste pour asseoir son indépendance énergétique depuis que le British Geological Survey a estimé ses réserves à près de 3 600 milliards de mètres cubes de gaz. Mais l’opinion publique n’est pas favorable à cette exploitation.
Le gaz de schiste soulève en effet des questions environnementales à cause de la technique utilisée, la fracturation hydraulique, accusée de polluer les nappes phréatiques à cause des larges quantités d’eau et d’additifs injectés dans le sol pour fracturer la roche où est emprisonné le gaz.
Malgré les critiques, le gouvernement de David Cameron a toujours soutenu cette exploitation et, pas plus tard que la semaine dernière, a annoncé des aides et des retournées économiques aux communes sur lesquelles se ferait l’exploitation du schiste.
La signature de ce partenariat a été saluée à la fois par Patrice de Vivies, vice-président de Total pour l’Europe du Nord et par Andrew Austin, directeur exécutif de IGas Energy.