Les organisations des chauffeurs VTC avaient décidé d’une « trêve des confiseurs » à partir du 23 décembre, afin de permettre aux conducteurs de continuer à opérer pendant les vacances de Noël. Le bras de fer, engagé contre Uber mi-décembre, était donc en pause depuis, mais il va reprendre dans deux semaines, à moins que la multinationale accepte des compromis.
Si un rassemblement est prévu le 16 janvier place de la Bastille, il ne serait pas question de bloquer les aéroports parisiens… ou alors comme « dernier recours », les organisations de VTC ne voulant pas s’aliéner l’opinion publique et la clientèle. Ces blocages étaient néanmoins prévus à partir du 23 décembre, avant que les représentants des chauffeurs ne décident de cette « pause ».
Le gouvernement et le rapporteur nommé par les pouvoirs publics, Jacques Rapoport, continuent de leur côté de discuter avec les deux parties afin de parvenir à un texte de compromis. Uber ne semble pour le moment pas vouloir donner de gages concernant une baisse de sa commission. Le rapport est attendu le 31 janvier.
Si un rassemblement est prévu le 16 janvier place de la Bastille, il ne serait pas question de bloquer les aéroports parisiens… ou alors comme « dernier recours », les organisations de VTC ne voulant pas s’aliéner l’opinion publique et la clientèle. Ces blocages étaient néanmoins prévus à partir du 23 décembre, avant que les représentants des chauffeurs ne décident de cette « pause ».
Le gouvernement et le rapporteur nommé par les pouvoirs publics, Jacques Rapoport, continuent de leur côté de discuter avec les deux parties afin de parvenir à un texte de compromis. Uber ne semble pour le moment pas vouloir donner de gages concernant une baisse de sa commission. Le rapport est attendu le 31 janvier.