Ce milliard de dollars de pertes peut impressionner, mais le résultat est conforme avec les prévisions d’Uber pour le premier trimestre qui s’est clos fin mars. Il en va de même pour le chiffre d’affaires, qui s’est établi à 3,1 milliards de dollars. Une performance en haut de la fourchette estimée par l’entreprise. Les revenus progressent de 20% par rapport au même trimestre de l’an dernier. Pour expliquer ce résultat, le directeur financier d’Uber, Nelson Chain, a précisé que les prix pratiqués par la concurrence avaient été moins agressifs, une détente qui a permis d’améliorer les revenus sur la période.
Les pertes ont été creusées par la hausse des coûts de 35%. Pour réussir son lancement en Bourse, Uber a beaucoup dépensé durant le premier trimestre. Plus réjouissant, le volume de réservations brutes a augmenté de 34% d’une année sur l’autre (elles pèsent 14,6 milliards de dollars dont la plus grande partie retourne aux chauffeurs). Quant aux réservations d’une trimestre à l’autre, elles progressent de 3,4%.
Les investisseurs pourront être soulagés par le sérieux de l’entreprise de mise en relation entre chauffeurs et passagers. Cela aidera peut-être le cours de l’action à gagner des couleurs : depuis son introduction au mois de mars au prix de 45 $, la valeur du titre a perdu 10%. Il revient désormais à Dara Khosrowshahi, le PDG du groupe, de démontrer qu’Uber peut devenir rentable, mais il y a encore beaucoup de travail à accomplir.
Les pertes ont été creusées par la hausse des coûts de 35%. Pour réussir son lancement en Bourse, Uber a beaucoup dépensé durant le premier trimestre. Plus réjouissant, le volume de réservations brutes a augmenté de 34% d’une année sur l’autre (elles pèsent 14,6 milliards de dollars dont la plus grande partie retourne aux chauffeurs). Quant aux réservations d’une trimestre à l’autre, elles progressent de 3,4%.
Les investisseurs pourront être soulagés par le sérieux de l’entreprise de mise en relation entre chauffeurs et passagers. Cela aidera peut-être le cours de l’action à gagner des couleurs : depuis son introduction au mois de mars au prix de 45 $, la valeur du titre a perdu 10%. Il revient désormais à Dara Khosrowshahi, le PDG du groupe, de démontrer qu’Uber peut devenir rentable, mais il y a encore beaucoup de travail à accomplir.