Le patron de la zone euro, Jeroen Dijsselbloem, s'est félicité de l'accord qui se dessine entre Athènes et Bruxelles en soulignant les « bons progrès » réalisés lors des négociations. La Grèce rechignait à réaliser quelques unes des réformes exigés par les créanciers, depuis l'annonce du plan d'aide de 86 milliards d'euros décidés, dans la douleur, cet été.
Athènes attend une tranche d'aide de 2 milliards d'euros depuis le mois d'octobre, mais elle est bloquée devant la persistance du pays de ne pas lancer certaines des réformes prévues. Des discussions ont eu lieu ce week-end afin de rapprocher les points de vue et visiblement, cela a porté ses fruits.
Les ministres des finances de la zone euro espèrent que les négociations aboutiront en ce début de semaine. Rien n'est cependant sûr encore, car le gouvernement grec est sous pression de la rue : une grève générale a eu lieu ce jeudi 12 novembre, un mouvement soutenu par Syriza, le propre parti du Premier ministre.
Athènes attend une tranche d'aide de 2 milliards d'euros depuis le mois d'octobre, mais elle est bloquée devant la persistance du pays de ne pas lancer certaines des réformes prévues. Des discussions ont eu lieu ce week-end afin de rapprocher les points de vue et visiblement, cela a porté ses fruits.
Les ministres des finances de la zone euro espèrent que les négociations aboutiront en ce début de semaine. Rien n'est cependant sûr encore, car le gouvernement grec est sous pression de la rue : une grève générale a eu lieu ce jeudi 12 novembre, un mouvement soutenu par Syriza, le propre parti du Premier ministre.