Le malware s’installe sur le téléphone des victimes dès lors que cette dernière installe une application infectée. À ce moment-là, le malware prend le contrôle du téléphone et notamment du compte Google de la victime qui est relié au smartphone. De là, le malware a accès à toutes les données personnelles de la victime, aux mails et aux photos.
Mais le malware ne s’arrête pas là : outre les données personnelles, il installe sur le smartphone des applications indésirables qui produisent, par le biais de la publicité qui s’affiche sur le smartphone, des revenus pour les pirates. Selon CheckPoint, le malware aurait déjà infecté 1 million de smartphones et en infecterait plus de 10 000 nouveaux chaque jours.
Le smartphone a, pour l’instant, essentiellement frappé l’Asie où serait situés 57 % des smartphones infectés, tandis que l’Europe reste peu touchée (seulement 9 % des smartphones infectés). Mais la vitesse de propagation est inquiétante. Surtout, le malware ne touche que les versions d’Android 4.0, 4.1 et 5.0 qui représentent, à elles seules, 74 % des smartphones Android en circulation, soit un potentiel de plus d’un milliard de terminaux.
Google est en train de travailler avec CheckPoint pour trouver une solution. En attendant la firme de sécurité a développé un outil permettant de vérifier avec un simple mail si le compte Google a été compromis et que l’on peut trouver ici : https://gooligan.checkpoint.com/
Mais le malware ne s’arrête pas là : outre les données personnelles, il installe sur le smartphone des applications indésirables qui produisent, par le biais de la publicité qui s’affiche sur le smartphone, des revenus pour les pirates. Selon CheckPoint, le malware aurait déjà infecté 1 million de smartphones et en infecterait plus de 10 000 nouveaux chaque jours.
Le smartphone a, pour l’instant, essentiellement frappé l’Asie où serait situés 57 % des smartphones infectés, tandis que l’Europe reste peu touchée (seulement 9 % des smartphones infectés). Mais la vitesse de propagation est inquiétante. Surtout, le malware ne touche que les versions d’Android 4.0, 4.1 et 5.0 qui représentent, à elles seules, 74 % des smartphones Android en circulation, soit un potentiel de plus d’un milliard de terminaux.
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