Le constructeur français et le groupe italo-américain sont en discussions avancées afin de réunir leurs forces dans un contexte mondial de l’automobile qui avance à marche forcée vers l’automobile connectée, électrique et autonome. Selon Le Monde, une co-entreprise pourrait être annoncée dès ce lundi 27 mai, à l’issue d’un conseil d’administration de Renault convoqué en urgence en ce début de semaine. Si les négociations se poursuivent encore, l’ambition de Renault et de Fiat-Chrysler ne s’arrêteraient pas là : les portes de ce-entreprise seraient ouvertes à d’autres constructeurs automobiles. Nissan ne serait toutefois pas partie prenante.
Le quotidien avance même que des prises de participation croisées entre les deux entreprises pourraient être envisagées. Ces grandes manœuvres se déroulent sous l’œil de l’État, qui a bien été averti par Renault. Mais les pouvoirs publics n’ont pris aucune part dans ces discussions, souligne une source proche du dossier. Quoi qu’il en soit, l’État français accueillerait favorablement cette ouverture.
Néanmoins, les pouvoirs publics mettraient plusieurs conditions à un rapprochement avec Fiat-Chrysler, tout d’abord en termes d’emplois et de localisation industrielle. L’État compte pleinement jouer son rôle d’actionnaire. Il voudrait également que l’Alliance avec Nissan et Mitsubishi ne soit pas mise de côté, bien que des difficultés aient émergé entre les constructeurs japonais, en particulier Nissan, et Renault.
Le quotidien avance même que des prises de participation croisées entre les deux entreprises pourraient être envisagées. Ces grandes manœuvres se déroulent sous l’œil de l’État, qui a bien été averti par Renault. Mais les pouvoirs publics n’ont pris aucune part dans ces discussions, souligne une source proche du dossier. Quoi qu’il en soit, l’État français accueillerait favorablement cette ouverture.
Néanmoins, les pouvoirs publics mettraient plusieurs conditions à un rapprochement avec Fiat-Chrysler, tout d’abord en termes d’emplois et de localisation industrielle. L’État compte pleinement jouer son rôle d’actionnaire. Il voudrait également que l’Alliance avec Nissan et Mitsubishi ne soit pas mise de côté, bien que des difficultés aient émergé entre les constructeurs japonais, en particulier Nissan, et Renault.