Journal de l'économie

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Un revenu de base universel, Manuel Valls y pense





Le 18 Septembre 2016, par Aurélien Delacroix

Manuel Valls remet sur le tapis son idée d'un revenu de base universel, lors d'un colloque consacré à Michel Rocard. Le Premier ministre avait déjà lancé le débat au mois d'avril.


Le locataire de Matignon estime qu'il s'agit là d'un « grand projet de gauche », mais admet aussi que c'est un sujet d'une grande complexité. Toutefois, il estime que c'est un débat qui doit se poursuivre au sein de la société. Il veut aller plus loin : « Le RMI a évolué. Il est devenu le RSA... Moi, je crois qu'il faut maintenant aller plus loin. Par la réforme des minima sociaux, leur simplification, peut-être pour aller vers un revenu universel garanti ».

L'idée est de regrouper la plupart des minima sociaux au sein d'un seul et unique versement, qui prendrait donc la forme d'un revenu de base universel. « il y a des champs, dans la réduction des inégalités, que nous devons être capables d'explorer ».

L'idée, évidemment, n'est pas neuve. En Finlande, une expérimentation va avoir lieu à partir du 1er janvier prochain : pendant deux ans, 2 000 demandeurs d'emploi vont toucher chaque mois 560 euros, l'équivalent de l'ensemble de leurs prestations sociales, avec la poursuite de leurs couverture santé et les allocations logement. Une expérimentation qui sera sans nul doute surveillée de près par de nombreux pays européens.





1.Posté par pascal le 19/09/2016 00:37 | Alerter
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Un peu de philosophie ...

La sociologie et la philosophie voient surtout dans le principe même du revenu de base une aberration idéologique exprimant en outre une démarche fondamentalement antisociale et anti-citoyenne.
Ce revenu, par sa nature monétaire, constitue en fait une monstruosité idéologique allant dans le sens de la dérive ultralibérale de la marchandisation à outrance, omniprésente actuellement : marchandisation de l’eau, de l’air, des idées, du génome ... et maintenant de la solidarité elle-même, comble du contre-sens et de l’arnaque !
Rappelons d’abord cette marchandisation progressive de la force de travail humaine : l’achat de la vie d’un esclave au temps des colonies puis du travail horaire lors de l’ère industrielle. Voici maintenant, comble du cynisme, la marchandisation de la solidarité ... voire même de la liberté individuelle !
La guerre froide a vu la confrontation idéologique dichotomique et réductrice entre deux systèmes de valeurs : un système non monétaire fondé sur la solidarité et le partage non marchand des biens et services "à l’Est" puis un système capitaliste "à l’Ouest" (outre le facile jeu de mots) fondé sur la monnaie, l’individualisme, la compétition primaire jusqu’au cynisme, la loi aveugle du marché.
Depuis la chute du bloc de l’Est et les dégradations économiques récurrentes des années 90, puis les crises sociétales de ce siècle, un lobbying idéologique planétaire tout-puissant tend à imposer la domination monolithique capitaliste du "tout marché" et du "tout monnaie" ... et certainement pas dans l’intérêt du citoyen mais des multinationales et d’un pouvoir économique fortement inégalitaire (voire criminel) en concentration croissante entre les mains d’une poignée de prédateurs cyniques. Méga-machinerie anti-citoyenne dont le rouage "de base" (comme ce fameux revenu) est la monnaie.
Le revenu de base, par sa nature strictement monétaire, symboliserait ainsi l’aboutissement idéologique de cette domination du "tout monnaie", du tout marchand. La victoire idéologique ultime de la monnaie sur la solidarité et le partage gratuit.
Précédemment, chaque allocation (en monnaie donc capitaliste dans son principe) constituait déjà une concession forcée de la solidarité citoyenne à la toute-puissance du capital. Toute allocation constitue une tentative de réparation par un outil administratif (et capitaliste) des dégâts sociaux causés par le marché lui-même, source d’exclusion sociale multiforme. Toute allocation se réduit en outre à un outil "mécanique" étatique comblant la disparition du lien humain de solidarité citoyenne directe, une mécanisation capitaliste de l’empathie naturelle, une dégénérescence impersonnelle du lien social ... la bonne conscience factice d’une société en phase de déshumanisation. Tout allocataire ayant fait la file au bureau d’une caisse a vécu, sans ambiguïté, cette déshumanisation flagrante de la solidarité par ce mécanisme froid.
Le propos n’est bien sûr pas ici d’affirmer que le marché serait la seule source historique d’exclusion sociale (le monde féodal par exemple comportait aussi ses dérives) mais il n’existe aucune fatalité historique en fuyant un mal à se ruer aveuglément vers un autre.
La solidarité devrait s’exercer (idéalement, en principe) par des moyens non monétaires. Il ne s’agit là aucunement d’une innovation historique, les cas de solidarité non monétaire jalonnent l’Histoire et en constituent même la norme ... bien avant la guerre froide, laquelle a caricaturé et appauvri ce débat idéologique par une binarité grossière.
Une monétarisation radicale de la solidarité lui ôterait non seulement sa dimension humaine et empathique mais son essence-même. Cela constituerait un vernis de bonne conscience masquant une grave rupture du lien social inhérent à la solidarité véritable. Cela ne réglerait en rien les aberrations et la dimension foncièrement inégalitaire du capitalisme mais le polirait en surface pour lui permettre de ne pas se remettre en question et poursuivre ainsi impunément ses ravages sociaux et sociétaux. Une mascarade idéologique.
Cet artifice monétaire marquerait l’aboutissement de l’individualisme et de son aliénation schizoïde, il signerait la mort dans le principe de la notion-même de solidarité, laquelle reste par nature non monétaire. Cette pseudo-solidarité monétarisée ne serait qu’une parodie de solidarité humaine véritable, une obole que l’on jette au mendiant pour ne pas l’inviter chez soi et se décharger ainsi la conscience.
Ce revenu de base constituerait le comble de cette dérive de marchandisation : la monétarisation du lien social lui-même et sa déshumanisation. La destruction historique par le capitalisme absolu du fondement premier du socialisme, la solidarité. Une monstruosité historique.
Non ! La solidarité ne s’achète ni ne se vend. Sa comptabilité monétaire représente une aberration philosophique et sociétale.
La solidarité n’est pas un droit capitaliste, c’est le fondement même de la citoyenneté. Cette citoyenneté qui s’égare aujourd’hui dans l’individualisme capitaliste doit, pour se revitaliser historiquement, retourner à sa source première qui est pure générosité et gratuité.
La solidarité sociale et citoyenne véritable doit s’exprimer notamment par la gratuité citoyenne d’accès à des "Biens et Services de Base" ... et non un accès monétarisé (donc idéologiquement capitaliste et morbide) à un "revenu de base" ... lequel ne garantira même pas ces accès citoyens (sinon au début pour faire illusion, avant de disparaître comme tous les "acquis sociaux" à la première politique d’austérité, plus que prévisible). Chimère, fantasme, poudre aux yeux que cette allocation de pacotille !
Un tel" revenu de base" (surtout dès la naissance !) constituerait symboliquement un "baptême" dans ce projet orwellien de "grande religion capitaliste planétaire" ... la religion du Nouvel Ordre Mondial (avec ou sans théorie du complot).
Là se situe le fondement de la machiavélique entourloupe : le revenu de base établirait idéologiquement sur chaque citoyen la domination absolue de ce système de (fausses) valeurs capitalistes inhumaines ... dès la naissance !
Il s’agirait là d’une monstruosité idéologique, d’une dérive politique radicalement opposée à la notion même de citoyenneté. Une impasse de l’Histoire s’enfonçant dans une spirale infernale d’inégalités croissantes inhérente au fonctionnement même du capitalisme. Fonctionnement entériné alors définitivement par cette abdication citoyenne du revenu de base, aveu d’échec face à la toute-puissance du marché.

Ce texte n’invite pas à renouer avec l’essence historique du socialisme pour tenter d’échapper aux dérives idéologiques et sociétales du capitalisme. Ces deux visions réductrices participent toutes deux d’un passé révolu.
L’avenir citoyen doit transcender ces idéologies réductrices définitivement obsolètes. Elles sont toutes deux non seulement morbides socialement mais tout simplement historiquement mortes ... et les fondements monétaires capitalistes et faussement solidaires de cette monstruosité de "revenu de base" agonisent également.
La vie est ailleurs !
A nous de la chercher, de la créer. A nous de redonner vie à une solidarité citoyenne libérée de ces chimères idéologiques morbides du passé.
La voie qui nous libérera de l’emprise historique capitaliste du tout marchand passe par le tissage d’un lien social libéré de la monnaie (la monnaie locale ne représente qu’une étape dans cette reconstruction du lien social de proximité, une phase salutaire de sevrage progressif), une solidarité fondée sur l’empathie naturelle, la gratuité, le partage, le don ...
La citoyenneté de demain ne sera pas l’affaire des comptables et des financiers.
La citoyenneté à venir sera simplement humaine.

Merci d’avoir eu la patience de lire cette tartine ... et bon appétit !

Conclusions (non exhaustives) :

1. L’idéologie du revenu de base se révèle fondamentalement capitaliste (derrière une présentation trompeuse) et constitue le dernier stade de dégradation du lien social dans une mécanisation orwellienne de la solidarité, mécanisation entamée par l’artifice administratif ponctuel (maladie, invalidité, pension, chômage, etc.) de l’allocation.
Allocation = artifice comptable servant principalement à masquer les dégâts sociaux du capitalisme en évitant de remettre en question les rouages fondamentaux de cette machine économiquement compétitive en termes de « production de valeur capitaliste » (valeur ajoutée, PIB et autres bricolages comptables pseudoscientifiques) mais socialement destructrice en termes de solidarité, d’inclusion sociale, d’équité et justice sociales, etc. (on éludera ici le lourd pan écologique). Le revenu de base ne constituerait que l’aboutissement historique généralisé de cette mécanisation administrative et comptable de substitution capitaliste de la solidarité naturelle. La froideur de ce mécanisme déshumanisé supposé remplacer l’empathie naturelle humaine se révèle concrètement dans les files d’attente anonymes de l’aide impersonnelle fournie administrativement aux bureaux des caisses d’allocation. Déshumanisation qui est en voie d’être entérinée définitivement par la cybernétisation croissante de l’administration. Bonjour Big Brother !

2. Concernant l’idéologue Van Parijs, gourou pseudoscientifique du revenu de base. La philosophie reste un art et non une technique. Seule l’histoire de la philosophie s’enseigne à l’école, non l’aptitude-même à philosopher... pas plus que l’on ne devient Van Gogh ou Picasso à l’Académie des beaux-arts. Van Parijs a fréquenté Oxford mais ne peut y avoir appris à philosopher. Son esprit y a simplement été formaté à l’idéologie anglo-saxonne (idéologie principalement pro-capitaliste dans ses principes, même dans ses thèses économiques prétendument marxistes) à mille lieues de toute philosophie authentique. Une parodie pédante (jouant fallacieusement sur l’argument d’autorité d’une certification universitaire, technique marketing familière des gourous de pseudoscience) qui ne leurre que les observateurs ne disposant pas d’un esprit critique suffisant pour déceler la supercherie. Certains intellectuels ont la fibre philosophique, d’autres pas.

3. Van Parijs a rencontré à Oxford Gerald Cohen et y partagé l’idéologie du marxisme analytique, loufoquerie où il a puisé ses élucubrations pseudo-philosophiques sur l’allocation universelle. Gerald Cohen est un « juif athée marxiste » ... profil symptomatique d’une grande finesse intellectuelle et psychique. Sans commentaire.

4. Les promoteurs du revenu de base, de cultures et tendances diverses (de droite, de gauche, du centre, libérales, ultralibérales, sociales, etc.) ont généralement en commun la particularité d’avoir subi un profond formatage (scolaire puis autre) idéologique pseudoscientifique fondamentalement capitaliste. Ce formatage ne se limite pas au plan strictement intellectuel et au matraquage scolaire et postscolaire par l’enseignement dogmatique de modèles mathématiques économiques faussement scientifiques mais se répercute aussi par la suite au plan psychologique. Ce matraquage dogmatique théorique a pour effet corollaire de développer des tendances schizoïdes consécutives de l’aliénation mentale inhérente au remplacement du rapport empathique sensible et direct à la réalité sociale et humaine par des représentations et autres modèles théoriques abstraits (mathématiques ou autres) et déshumanisés. Cet endoctrinement (comparable aux endoctrinements sectaires) isole les adeptes de la réalité humaine et les projette dans une abstraction fantasmagorique détruisant progressivement les réflexes empathiques naturels. Cette aliénation contre-empathique se constate plus généralement dans des situations comparables chez les militaires ou autres (hauts-)techniciens politico-économiques : soit par distanciation idéologique (le nazisme à déshumanisé par l’idéologie la représentation théorique du citoyen juif avant de détruire tout sentiment naturel d’empathie envers l’être humain lui-même), soit par distanciation technologique (le pilote de drones finit par percevoir ses victimes comme des personnages fictifs de jeu vidéo), soit par modélisation intellectuelle (les responsables de Goldman Sachs ou Nestlé sont obsédés par les chiffres comptables et ne perçoivent plus les désastres écologiques et humains de leurs activités économiques), etc. A un tel stade de dégénération mentale, le théoricien du revenu de base finit par percevoir faussement le revenu de base comme expression du lien social sans réaliser que la dimension d’empathie y a complétement disparu pour devenir une parodie comptable grotesque. Le catho bourgeois qui donnait (cette pitrerie existe toujours) sa pièce à la messe du dimanche pour soulager sa conscience à peu de frais atteignait lui aussi un stade comparable de dégradation mentale suffisante pour considérer cette mascarade comme une manifestation d’empathie naturelle authentique. Le revenu de base ne constituerait ainsi que la manifestation capitaliste moderne d’une tendance éculée au pharisaïsme chez le faux-cul « de base ».

5. Le revenu de base ne constitue ainsi en rien le fruit d’une démarche philosophique saine et rationnelle de la part de ses promoteurs mais le symptôme d’une dégénérescence psycho-mentale (consécutive principalement d’une démarche d’aliénation par modélisation, mathématique ou autre, flirtant avec la psychose schizoïde) et au plan collectif la tentative de mise en œuvre capitaliste d’une machinerie sociétale particulièrement tordue et inhumaine. Les théoriciens et propagandistes du revenu de base montrent d’ailleurs généralement une tendance compulsive et maniaque à étaler des lignes (voire des pages) de bricolages comptables pour fuir toute confrontation empathique avec la réalité sociale humaine de terrain et éluder du discours tous les ravages prévisibles (énoncés par les véritables sociologues opposés à cette lubie) consécutifs à la mise en place d’un tel artifice capitaliste froidement comptable.

6. Les défenseurs théoriques les plus acharnés de cette lubie étant souvent de vieux baba cool, il serait scientifiquement intéressant d’étudier cliniquement la corrélation entre la consommation de THC et cette tendance schizoïde à adhérer à ces modèles théoriques loufoques exprimant une forte dégradation de la relation naturelle d’empathie au vivant et marquant une nette rupture du rapport à la réalité non seulement sociale et humaine mais à la réalité tout simplement. Imaginer pouvoir régler par magie tous les problèmes d’exclusion et de disqualification sociales consécutifs du cynisme capitaliste par une obole strictement monétaire de base, commune, mécanique et impersonnelle, comme dans les scénarii de science-fiction les plus orwelliens, témoigne d’une grave distorsion fantasmagorique du rapport au réel ... pouvant trouver sinon sa seule cause au moins un facteur aggravant dans l’abus de psychotropes.

7. En corollaire des considérations précédentes sur le THC, il serait par ailleurs politiquement intéressant d’investiguer sur les éventuelles corrélations entre les lobbies américains contemporains de l’idéologie du revenu de base (et/ou ceux qui tentent d’imposer le TTIP) avec les lobbies ayant financé au siècle dernier des expérience de manipulation psychique à grande échelle par l’emploi de psychotropes ... comme par exemple l’emploi du LSD des laboratoires suisses Sandoz dans les programmes de la CIA comme Mkultra et Mknaomi. Dans un cadre proche, il serait simplement intéressant d’étudier statistiquement la corrélation entre les personnes favorables au revenu de base et celles consommant régulièrement du THC.

8. Etc.

Cette tendance psychique à user à outrance de mécanismes de déni pour ne pas répondre aux objections fondamentales et à s’égarer systématiquement et de manière compulsive en digressions numériques superficielles et répétitives en guise de défense psychique pour éviter toute argumentation rationnelle apparaît comme cliniquement inquiétante ... à moins qu’il ne s’agisse d’une technique délibérée de matraquage mental propre aux propagandes sectaires, ce qui serait tout aussi inquiétant mais dans un autre registre.

Bonne continuation mais une aide thérapeutique pourrait se révéler salutaire. Pensez-y.
Bien à vous.
pascal

2.Posté par pascal le 19/09/2016 00:51 | Alerter
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Bonjour,

Les phases historiques d’incertitude peuvent pousser le citoyen, individuellement ou collectivement, à s’accrocher à la première bouée de sauvetage venue en y sacrifiant non seulement les bases d’un esprit critique sain et vital mais parfois le bon sens le plus élémentaire.
Le MFRB n’est un mouvement citoyen qu’en façade. Il constitue en fait la patte blanche de loups ultralibéraux canadiens aux services de lobbies financiers et bancaires très puissants ... comme la banque Lazard, familière des magouilles en coulisses de la haute finance transatlantique et pour qui travaille ... Daniel Cohen, tête pensante du MFRB. Hum !?
Commencez-vous à sentir cette odeur d’oignon ?
Le revenu de base ne constitue en rien un outil social au service du citoyen, au contraire. Il s’agit fondamentalement d’une bouée de sauvetage temporaire d’un système bancaire à l’agonie s’effondrant dans les taux négatifs et une spirale financière qui aboutira à l’anéantissement historique du capitalisme, annoncé depuis l’effondrement de son concurrent communiste.
Pour de plus amples détails sur cette magouille ultralibérale à mille lieues des intérêts citoyens, je vous invite à lire les commentaires aux derniers articles publiés sur le blog de Guy Valette (un autre adhérent actif du MFRB) intitulé Alernative21.
http://alternative21.blog.lemonde.fr/2016/07/12/le-revenu-dexistence-un-puissant-moyen-de-redistribution-sans-stigmatiser-ni-spolier/
http://alternative21.blog.lemonde.fr/2016/07/06/comment-securiser-et-renforcer-notre-systeme-social-avec-le-revenu-dexistence/
J’espère que la lecture de ces commentaires vous mènera à une approche plus réaliste de cet artifice financier du revenu de base et à une vision moins candide du MFRB en particulier mais surtout des coulisses de la finance planétaire en général.
Si ces commentaires attirent votre attention, vous pourrez prolonger l’exercice de votre curiosité sur le site de Podemos France où sont également accessibles des commentaires qui ne subissent pas la censure de la pensée unique du site sectaire du MFRB.
http://podemosfrance.info/2015/12/15/le-revenu-garanti/#comment-1083
Dans un registre proche et sur un ton plus posé, les 70 commentaires à l’article suivant du Monde Diplomatique offrent également un certain intérêt.
http://blog.mondediplo.net/2016-02-29-L-utopie-du-revenu-garanti-recuperee-par-la
Bonne lecture.
Cordialement,
pascal

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