Selon cette étude, près d’un salarié français sur cinq (19%) est victime de stress au travail. La France se place sur le podium européen en la matière, derrière la Pologne et l’Allemagne avec respectivement 25% et 20%. Cette troisième place n’est guère encourageante étant donné les problèmes que génèrent un trop fort niveau de stress, qui se vit mal au travail, mais qui est aussi « importé » à la maison et retombe sur les proches. Dans l’Hexagone, 20% seulement des salariés se sentent suffisamment en confiance pour parler à leur management d’un problème de mal-être, relève ADP. 72% des salariés pensent que leur employeur ne s’intéresse tout simplement pas à leur bien-être, où il ne s’en soucie qu’en surface.
L’étude montre également que, contrairement à l’idée reçue, ce n’est pas en Ile-de-France que les salariés sont les plus stressés (ils le sont tout de même à 20%), mais dans le Sud-Ouest (24%), suivi par la région Centre (22%). 16% des personnes interrogées se disent stressées au travail dans le Nord et l’Ouest. Ce problème du stress a mis du temps avant que les employeurs français s’y intéressent finalement, au contraire d’autres pays.
Au Danemark par exemple, c’est dès les années 70 que les premiers accords sur le stress au travail ont été négociés entre les partenaires sociaux. L’Hexagone a donc un long chemin à faire pour réduire le niveau d’anxiété qui touche de nombreux salariés dans les entreprises françaises.
L’étude montre également que, contrairement à l’idée reçue, ce n’est pas en Ile-de-France que les salariés sont les plus stressés (ils le sont tout de même à 20%), mais dans le Sud-Ouest (24%), suivi par la région Centre (22%). 16% des personnes interrogées se disent stressées au travail dans le Nord et l’Ouest. Ce problème du stress a mis du temps avant que les employeurs français s’y intéressent finalement, au contraire d’autres pays.
Au Danemark par exemple, c’est dès les années 70 que les premiers accords sur le stress au travail ont été négociés entre les partenaires sociaux. L’Hexagone a donc un long chemin à faire pour réduire le niveau d’anxiété qui touche de nombreux salariés dans les entreprises françaises.