L'opérateur mobile et internet américain, qui se bat pour la première place avec son rival AT&T, est intéressé par Yahoo. Le groupe, qui a pour lui une réserve de trésorerie de 4,5 milliards de dollars, fait partie des prétendants possibles à l'acquisition de Yahoo.
Les candidats avaient jusqu'à ce lundi 18 avril pour se faire connaître, mais les principales têtes d'affiche ont fait défection. Google, que l'on disait intéressé, aurait eu du mal à faire face aux autorités régulatrices, notamment en Europe. Plusieurs groupes de médias (dont Time), ainsi que le concurrent AT&T, ont eux aussi été tentés un moment.
Mais Verizon a une carte intéressante à jouer : rapprocher AOL de Yahoo. L'ancien fournisseur d'accès à internet s'est reconverti dans le contenu et les médias. Marier cette filiale au portail internet, lui aussi spécialisé dans le contenu, a du sens. Il faut encore régler les problèmes capitalistiques, complexes quand on parle de Yahoo, et faire mieux que les fonds d'investissements eux aussi intéressés par le site web.
Les candidats avaient jusqu'à ce lundi 18 avril pour se faire connaître, mais les principales têtes d'affiche ont fait défection. Google, que l'on disait intéressé, aurait eu du mal à faire face aux autorités régulatrices, notamment en Europe. Plusieurs groupes de médias (dont Time), ainsi que le concurrent AT&T, ont eux aussi été tentés un moment.
Mais Verizon a une carte intéressante à jouer : rapprocher AOL de Yahoo. L'ancien fournisseur d'accès à internet s'est reconverti dans le contenu et les médias. Marier cette filiale au portail internet, lui aussi spécialisé dans le contenu, a du sens. Il faut encore régler les problèmes capitalistiques, complexes quand on parle de Yahoo, et faire mieux que les fonds d'investissements eux aussi intéressés par le site web.