(c) Shutterstock/EconomieMatin
La surprise a été de taille lorsqu’on a appris, en octobre 2014, que Facebook s’était offert WhatsApp pour la somme vertigineuse de 19 milliards de dollars. C’était d’autant plus risqué que Facebook possède déjà, avec Messenger, un service de messagerie instantanée tout à fait performant et reconnu.
Mais le pari commence à ressembler à une bonne affaire, du moins si l’on se place du point de vue du nombre d’abonnés. En avril dernier, ils étaient en effet 500 millions d’utilisateurs actifs sur WhatsApp. L’application en revendique 800 millions aujourd’hui, et l’horizon du milliard se rapproche nettement.
Et il s’agit du nombre d’utilisateurs qui se servent réellement de l’application (disponible sur toutes les plateformes mobiles), pas des inscrits qui sont donc potentiellement bien plus nombreux. WhatsApp est désormais clairement le premier service de messagerie au monde, remplaçant même dans certains pays le SMS. Reste maintenant à monétiser intelligemment un tel potentiel.
Mais le pari commence à ressembler à une bonne affaire, du moins si l’on se place du point de vue du nombre d’abonnés. En avril dernier, ils étaient en effet 500 millions d’utilisateurs actifs sur WhatsApp. L’application en revendique 800 millions aujourd’hui, et l’horizon du milliard se rapproche nettement.
Et il s’agit du nombre d’utilisateurs qui se servent réellement de l’application (disponible sur toutes les plateformes mobiles), pas des inscrits qui sont donc potentiellement bien plus nombreux. WhatsApp est désormais clairement le premier service de messagerie au monde, remplaçant même dans certains pays le SMS. Reste maintenant à monétiser intelligemment un tel potentiel.