Le consensus des économistes planchaient plutôt sur une hypothèse stable, c'est à dire un taux de chômage de 10,5% en décembre comme le mois précédent. Bonne surprise donc, mais cela ne signifie pas pour autant que la machine économique européenne va repartir franchement : il faudrait pour cela que le chômage baisse de manière plus forte, ce qui créerait une pression sur les salaires et donc, sur l'inflation.
D'ailleurs, Eurostat a également calculé un recul des tarifs à la production industrielle : ils sont en baisse de 0,8% par rapport au moins précédent. C'est la conséquence de la baisse continue des prix des matières premières, ce qui évidemment ne fait pas l'affaire de la Banque centrale européenne qui entend faire redémarrer la hausse des prix — l'objectif est d'atteindre une inflation de 2% annuel, mais on en est loin.
Pays par pays, la situation reste contrastée. L'Allemagne est en pole position avec un taux de chômage de 4,5% seulement, quand la France est à 10,2%, sous la moyenne donc mais de peu. La Grèce affiche elle un taux de 24,5%, mais il s'agit du chiffre du mois d'octobre.
D'ailleurs, Eurostat a également calculé un recul des tarifs à la production industrielle : ils sont en baisse de 0,8% par rapport au moins précédent. C'est la conséquence de la baisse continue des prix des matières premières, ce qui évidemment ne fait pas l'affaire de la Banque centrale européenne qui entend faire redémarrer la hausse des prix — l'objectif est d'atteindre une inflation de 2% annuel, mais on en est loin.
Pays par pays, la situation reste contrastée. L'Allemagne est en pole position avec un taux de chômage de 4,5% seulement, quand la France est à 10,2%, sous la moyenne donc mais de peu. La Grèce affiche elle un taux de 24,5%, mais il s'agit du chiffre du mois d'octobre.