Un bonus de 2.200 euros en moyenne chez Ferrero
Lors d’une réunion entre la direction et les syndicats de l’entreprise, l’annonce a été faite : l’ensemble des salariés italiens de Ferrero bénéficieront d’un bonus de 2.200 euros en moyenne pour l’année 2021. La somme, défiscalisée, sera versée avec le salaire du mois d’octobre. Ce ne sont pas moins de 6.000 salariés italiens du géant de l’agroalimentaire qui seront ainsi récompensés de leurs efforts sur l’année fiscale 2020-2021 encore marquée par la crise sanitaire.
Comme à chaque fois, le montant de la prime est calculé pour 30% sur les résultats de l’entreprise dans l’année fiscale écoulée et pour 70% sur les résultats de chaque usine prise individuellement. C’est ce qui explique les légères différences, de quelques dizaines d’euros, entre les primes dans chaque établissement. Néanmoins, aucun salarié ne touchera moins de 2.100 euros ni plus de 2.350 euros, le maximum prévu dans l’accord.
Comme à chaque fois, le montant de la prime est calculé pour 30% sur les résultats de l’entreprise dans l’année fiscale écoulée et pour 70% sur les résultats de chaque usine prise individuellement. C’est ce qui explique les légères différences, de quelques dizaines d’euros, entre les primes dans chaque établissement. Néanmoins, aucun salarié ne touchera moins de 2.100 euros ni plus de 2.350 euros, le maximum prévu dans l’accord.
Des primes accordées pour la troisième année consécutive
Depuis la signature de l’accord, en 2018 et donc pour l’année fiscale 2018-2019, Ferrero, malgré la crise sanitaire et les décisions de fermeture et de réduction du temps de travail, notamment en 2020, a toujours versé cette prime. En 2019 et en 2020, elle avait également dépassé 2.000 euros par salarié.
Sur trois ans, ce sont donc plus de 6.000 euros que les salariés de Ferrero en Italie ont obtenu en primes défiscalisées, soit la redistribution de plus de 36 millions d’euros de la part de l’entreprise.
Sur trois ans, ce sont donc plus de 6.000 euros que les salariés de Ferrero en Italie ont obtenu en primes défiscalisées, soit la redistribution de plus de 36 millions d’euros de la part de l’entreprise.