Des fausses facturations servaient à gonfler le chiffre d’affaires de la société, une découverte rendue possible suite à un audit financer. Le sort de ce petit empire de l’agroalimentaire, fort de plusieurs marques très populaires employant 3 200 salariés, est en jeu et l’État va mettre la main à la poche.
Le ministère de l’Économie va placer 70 millions d’euros dans une fiducie qui pourra prêter cet argent au groupe selon ses besoins. Le gouvernement débloque également une première aide d’une dizaine de millions d’euros d’ici la fin de l’année, de l’argent frais qui servira à « assurer que les prochaines semaines se dérouleront dans de bonnes conditions, il faut que l'entreprise continue de fonctionner ».
Ces sommes ont aussi pour objectif de rassurer l’entreprise, ses créanciers, et assurer que l’emploi sera préservé. Le pouvoirs publics continuent par ailleurs de discuter avec le pool bancaire ; mais il n’est pas question d’entrer au capital de la Financière, même si l’entreprise n’a pas exclu une ouverture de son capital.
Le ministère de l’Économie va placer 70 millions d’euros dans une fiducie qui pourra prêter cet argent au groupe selon ses besoins. Le gouvernement débloque également une première aide d’une dizaine de millions d’euros d’ici la fin de l’année, de l’argent frais qui servira à « assurer que les prochaines semaines se dérouleront dans de bonnes conditions, il faut que l'entreprise continue de fonctionner ».
Ces sommes ont aussi pour objectif de rassurer l’entreprise, ses créanciers, et assurer que l’emploi sera préservé. Le pouvoirs publics continuent par ailleurs de discuter avec le pool bancaire ; mais il n’est pas question d’entrer au capital de la Financière, même si l’entreprise n’a pas exclu une ouverture de son capital.