Les repas des fêtes de fin d’année coûte toujours plus cher
En 2022, le coût moyen de revient du repas de fin d’année a connu une augmentation significative de 15%, s'élevant à 107 euros contre 93 euros en 2021. Pour cette année 2023, inflation élevée oblige, les indicateurs suggèrent une tendance similaire, bien que moins prononcée.
Le foie gras, produit phare des tables françaises, est particulièrement touché. Les données montrent une augmentation prévue de 10% de son prix. Mais aussi une production en hausse de 30% environ, ce qui devrait permettre d’éviter la pénurie. L’augmentation du prix du foie gras s'explique par plusieurs facteurs, notamment les coûts de production constants et les défis posés par les épidémies de grippe aviaire.
Le foie gras, produit phare des tables françaises, est particulièrement touché. Les données montrent une augmentation prévue de 10% de son prix. Mais aussi une production en hausse de 30% environ, ce qui devrait permettre d’éviter la pénurie. L’augmentation du prix du foie gras s'explique par plusieurs facteurs, notamment les coûts de production constants et les défis posés par les épidémies de grippe aviaire.
Le saumon en hausse, la volaille en baisse ?
Le saumon, qui ne peut pas non plus manquer sur les tables de Noël et du Réveillon, n'est pas épargné. Les prévisions indiquent une augmentation potentielle de 5 à 10 centimes par tranche de 40 grammes. Une augmentation qui risque de peser lourd chez les ménages qui font de grandes tablées.
Mais les ménages peuvent aussi tenter de faire quelques économies. Les volailles festives, par exemple, pourraient connaître une baisse de prix cette année. Après une hausse de 15% en 2022, les indicateurs suggèrent un retour à des tarifs plus raisonnables, grâce à une production stable et à l'absence d'épidémies majeures affectant ces produits.
Inversement, les spiritueux présentent un tableau contrasté. Malgré les défis tels que l'augmentation des coûts des matières premières, les producteurs ont du mal à répercuter ces coûts sur les consommateurs. Les prix devraient être en hausse dans les rayons, mais de manière limitée et raisonnable. Ce qui n’est pas une mauvaise nouvelle pour la santé, l’alcool étant une drogue dangereuse.
Mais les ménages peuvent aussi tenter de faire quelques économies. Les volailles festives, par exemple, pourraient connaître une baisse de prix cette année. Après une hausse de 15% en 2022, les indicateurs suggèrent un retour à des tarifs plus raisonnables, grâce à une production stable et à l'absence d'épidémies majeures affectant ces produits.
Inversement, les spiritueux présentent un tableau contrasté. Malgré les défis tels que l'augmentation des coûts des matières premières, les producteurs ont du mal à répercuter ces coûts sur les consommateurs. Les prix devraient être en hausse dans les rayons, mais de manière limitée et raisonnable. Ce qui n’est pas une mauvaise nouvelle pour la santé, l’alcool étant une drogue dangereuse.