L'association de consommateurs a testé quelques bouteilles d'huile d'olive pour en vérifier la qualité. Ces huiles étaient commercialisées comme "huile extra vierge" soit la catégorie 1, la meilleure et la plus chère. Mais certaines huiles se sont avérées être de catégorie 2, de l'huile dite "vierge", moins chère. Si elle n'est pas interdite à la vente, l'huile vierge ne peut être commercialisée comme "extra vierge".
Les gendarmes de la brigade spécialisée dans la santé ont donc mené leurs propres tests et on découvert qu'effectivement sur les 20 bouteilles analysées pas moins de 9 présentaient en réalité de l'huile vierge malgré le label "extra vierge" de la bouteille. Toutes les huiles en questions ont été produites en Ligurie, Toscane ou dans les Abruzzes et c'est vers ces régions que l'enquête se tourne désormais.
Le procureur a même dévoilé les noms des entreprises concernées : Carapelli, Santa Sabina, Bertolli, Coricelli, Sasso, Primadonna (commercialisé par Lidl) e Antica Badia (pour Eurospin). Reste maintenant à savoir où a eu lieu la fraude, si au niveau des producteurs ou des distributeurs.
Il n'est en effet à ce jour pas clair si ce sont les entreprises en questions qui ont été flouées par les producteurs locaux ou si, au contraire, elles étaient au courant de ne vendre que de l'huile "vierge". Il n'est pas clair non plus si les bouteilles exportées sont également concernées par cette fraude ou non.
Les gendarmes de la brigade spécialisée dans la santé ont donc mené leurs propres tests et on découvert qu'effectivement sur les 20 bouteilles analysées pas moins de 9 présentaient en réalité de l'huile vierge malgré le label "extra vierge" de la bouteille. Toutes les huiles en questions ont été produites en Ligurie, Toscane ou dans les Abruzzes et c'est vers ces régions que l'enquête se tourne désormais.
Le procureur a même dévoilé les noms des entreprises concernées : Carapelli, Santa Sabina, Bertolli, Coricelli, Sasso, Primadonna (commercialisé par Lidl) e Antica Badia (pour Eurospin). Reste maintenant à savoir où a eu lieu la fraude, si au niveau des producteurs ou des distributeurs.
Il n'est en effet à ce jour pas clair si ce sont les entreprises en questions qui ont été flouées par les producteurs locaux ou si, au contraire, elles étaient au courant de ne vendre que de l'huile "vierge". Il n'est pas clair non plus si les bouteilles exportées sont également concernées par cette fraude ou non.