Ces trois dernières années, la progression du PIB français est restée à la traîne du reste de la zone euro. La France devrait finalement retrouver un rythme de croissance similaire à celui de ses voisins européens. La croissance du premier trimestre devrait ainsi s'établir à 0,3% au premier trimestre, puis de 0,5% au deuxième trimestre, selon les estimations de l'Insee qui estime qu'il souffle un « vent d'optimisme » au sein de la machine économique mondiale.
Au 30 juin, c'est à dire à la fin du premier semestre, l'acquis de croissance pour l'année serait de 1,1%. L'institut prévoyait 1% tout rond en décembre. Rappelons qu'en 2016, la croissance s'est établie à 1,1%… sur l'ensemble de l'année. On peut penser que la France continuera à générer de la croissance au deuxième semestre. Une prévision qui n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd : Michel Sapin, le ministre de l'Économie, a ainsi indiqué que l'hypothèse d'une progression du PIB de 1,5% en 2017 est crédible. Cela tombe bien puisque c'est l'estimation du gouvernement.
L'emploi va profiter de cette croissance. L'an dernier, on a constaté un net rebond des embauches, le mouvement va sans aucun doute se poursuivre cette année. L'Insee prévoit ainsi 93 000 créations de postes au premier semestre (il y en avait eu 118 000 durant la deuxième partie de l'an dernier). Le taux de chômage au sens du Bureau international du travail devrait s'établit à 9,5% mi-2017 — c'est 0,2 point de moins que fin 2016.
Au 30 juin, c'est à dire à la fin du premier semestre, l'acquis de croissance pour l'année serait de 1,1%. L'institut prévoyait 1% tout rond en décembre. Rappelons qu'en 2016, la croissance s'est établie à 1,1%… sur l'ensemble de l'année. On peut penser que la France continuera à générer de la croissance au deuxième semestre. Une prévision qui n'est pas tombée dans l'oreille d'un sourd : Michel Sapin, le ministre de l'Économie, a ainsi indiqué que l'hypothèse d'une progression du PIB de 1,5% en 2017 est crédible. Cela tombe bien puisque c'est l'estimation du gouvernement.
L'emploi va profiter de cette croissance. L'an dernier, on a constaté un net rebond des embauches, le mouvement va sans aucun doute se poursuivre cette année. L'Insee prévoit ainsi 93 000 créations de postes au premier semestre (il y en avait eu 118 000 durant la deuxième partie de l'an dernier). Le taux de chômage au sens du Bureau international du travail devrait s'établit à 9,5% mi-2017 — c'est 0,2 point de moins que fin 2016.