En janvier, la machine économique américaine a créé 200 000 emplois non agricoles, soit 20 000 de plus que les hypothèses des analystes économiques… et 40 000 de plus qu'au mois de décembre, qui a déjà bénéficié d'une révision à la hausse de 12 000 postes. Le taux de chômage s'établit à 4,1%, il ne change pas mais ce niveau représente un plus bas en 17 ans. En moyenne, les États-Unis sous Trump ont créé 176 000 emplois chaque mois, contre 208 300 sous l'administration Obama.
Quant aux salaires, ils ont progressé comme jamais depuis 2009 : la rémunération horaire moyenne a ainsi progressé de 0,3% en janvier, soit une hausse de 2,9% sur un an. C'est son rythme le plus élevé depuis le mois de juin 2009 ; en décembre, la hausse était de 2,7% sur un an. La réforme fiscale voulue par l'administration Trump et finalement votée en décembre dernier devrait présenter des conséquences somme toute limitées pour l'emploi.
Les États-Unis sont déjà en situation de plein emploi, les portes de l'immigration se ferment de plus en plus, et les entreprises qui profiteront le plus des nouvelles incitations fiscales en profiteront d'abord pour servir leurs actionnaires. Une poignée de sociétés a tout de même annoncé des créations d'emplois, 37 000 en tout. Devant cette situation, la Réserve fédérale américaine n'a pas modifié ses taux, mais elle a clairement fait comprendre que l'inflation attendue cette année l'obligerait à procéder à des hausses. Et ce, à partir du mois de mars.
Quant aux salaires, ils ont progressé comme jamais depuis 2009 : la rémunération horaire moyenne a ainsi progressé de 0,3% en janvier, soit une hausse de 2,9% sur un an. C'est son rythme le plus élevé depuis le mois de juin 2009 ; en décembre, la hausse était de 2,7% sur un an. La réforme fiscale voulue par l'administration Trump et finalement votée en décembre dernier devrait présenter des conséquences somme toute limitées pour l'emploi.
Les États-Unis sont déjà en situation de plein emploi, les portes de l'immigration se ferment de plus en plus, et les entreprises qui profiteront le plus des nouvelles incitations fiscales en profiteront d'abord pour servir leurs actionnaires. Une poignée de sociétés a tout de même annoncé des créations d'emplois, 37 000 en tout. Devant cette situation, la Réserve fédérale américaine n'a pas modifié ses taux, mais elle a clairement fait comprendre que l'inflation attendue cette année l'obligerait à procéder à des hausses. Et ce, à partir du mois de mars.