L’A380 a été lancé il y a près de 20 ans et malgré son statut de très gros porteur et ses indéniables qualités, il intéresse encore peu de compagnies aériennes. La Tribune rapporte des signaux encourageants pour l’avion et pour Airbus en général, après la tenue du 6e dialogue économique et financier franco-chinois pour lequel Bruno Le Maire a reçu Hu Chunhua, le vice-premier ministre. Dans la déclaration commune, on peut ainsi lire que les deux pays sont satisfaits de la perspective de nouveaux contrats signés à l’avenir.
« La Chine, en phase avec les besoins de développement de son marché du transport aérien, souhaite continuer à acheter des avions Airbus sur la base de bénéfices mutuels et de négociations amicales avec la partie française », indique encore le communiqué. Pas de contrats à proprement parler, ni d’engagement ferme de la part de Pékin. Mais la porte reste ouverte. Les deux pays proposent à Airbus et aux compagnies aériennes chinoises de discuter d’une possible coopération sur les programmes A330, A350 et A380. Objectif : relever à un milliard d’euros la coopération industrielle entre l’avionneur et la Chine d’ici 2020.
C’est que le pays, dont les compagnies aériennes ne possèdent que 5 A380, a de gros besoins. Airbus estimait que la Chine pourrait commander 60 très gros porteurs dans les 5 à 7 ans. Il suffit qu’une compagnie passe une commande significative pour que d’autres suivent dans la foulée, estime-t-on encore chez le constructeur. En janvier, Emmanuel Macron déclarait que la France voulait vendre des A350 et des A380 « dans les semaines et les mois à venir ».
« La Chine, en phase avec les besoins de développement de son marché du transport aérien, souhaite continuer à acheter des avions Airbus sur la base de bénéfices mutuels et de négociations amicales avec la partie française », indique encore le communiqué. Pas de contrats à proprement parler, ni d’engagement ferme de la part de Pékin. Mais la porte reste ouverte. Les deux pays proposent à Airbus et aux compagnies aériennes chinoises de discuter d’une possible coopération sur les programmes A330, A350 et A380. Objectif : relever à un milliard d’euros la coopération industrielle entre l’avionneur et la Chine d’ici 2020.
C’est que le pays, dont les compagnies aériennes ne possèdent que 5 A380, a de gros besoins. Airbus estimait que la Chine pourrait commander 60 très gros porteurs dans les 5 à 7 ans. Il suffit qu’une compagnie passe une commande significative pour que d’autres suivent dans la foulée, estime-t-on encore chez le constructeur. En janvier, Emmanuel Macron déclarait que la France voulait vendre des A350 et des A380 « dans les semaines et les mois à venir ».