Cette annonce intervient après la décision de la Cour de cassation qui annule une condamnation du groupe aérien. En 2014, Ryanair avait écopé d'une amende de 200 000 euros pour travail dissimulé sur sa base de Marseille, entre 2007 et 2010. Les juges de la Cour de cassation ont finalement décidé que le droit européen permettait à l'entreprise d'employer ses salariés avec des contrats de droit irlandais, Ryanair exerçant une activité de trois ans à Marseille.
Cette « victoire » réjouit Ryanair bien évidemment, et qui lui permet donc d'envisager d'entrer sur le marché français. Eddie Wilson, le directeur des ressources humaines du groupe aérien, explique dans le communiqué de presse que des discussions sont d'ores et déjà menées « avec un certain nombre d'aéroports français et avec le ministère du Travail ».
À terme, Ryanair espère pouvoir annoncer la création de « plusieurs bases » sur le territoire français « dans un proche avenir ». La compagnie ajoute : avec des pilotes et du personnel navigant basés en France « avec des contrats de droit français et payant leurs cotisations sociales en France plutôt qu'en Irlande », explique encore le dirigeant de Ryanair.
Cette « victoire » réjouit Ryanair bien évidemment, et qui lui permet donc d'envisager d'entrer sur le marché français. Eddie Wilson, le directeur des ressources humaines du groupe aérien, explique dans le communiqué de presse que des discussions sont d'ores et déjà menées « avec un certain nombre d'aéroports français et avec le ministère du Travail ».
À terme, Ryanair espère pouvoir annoncer la création de « plusieurs bases » sur le territoire français « dans un proche avenir ». La compagnie ajoute : avec des pilotes et du personnel navigant basés en France « avec des contrats de droit français et payant leurs cotisations sociales en France plutôt qu'en Irlande », explique encore le dirigeant de Ryanair.