Dans un communiqué, l’opérateur autoroutier explique que près de 250 sites ont été « impactés quotidiennement par les actions des manifestants ». Selon l’entreprise, des dégâts « considérables » ont été causés à ses équipements et à ses infrastructures. Vinci relève ainsi que six bâtiments d’exploitation ont été détruits, 15 échangeurs et plateformes de péage, une trentaine de véhicules d’intervention ainsi que de nombreuses chaussées. Des dégâts qui représentent des « dizaines de millions d’euros », selon le décompte de la société.
Vinci a également été victime de « dizaines d’actes de vandalisme » : glissières, caméras de sécurité, panneaux de signalisation en fait les frais de la colère des « gilets jaunes » et de casseurs. Les équipes du groupe ont également dû nettoyer les « campements » des manifestants, ce qui a représenté l’enlèvement de « centaines de tonnes de déchets ». Malgré l’affaiblissement des manifestations ce week-end, Vinci déplore des incendies volontaires dans plusieurs péages de Perpignan à Orange dans la nuit de samedi à dimanche.
Dans le communiqué, Vinci met les choses au clair : « Que les réparations soient prises en charge par les assurances, par l'Etat ou par Vinci Autoroutes, c'est dans tous les cas la collectivité qui est pénalisée par ces atteintes répétées portées aux biens publics, qui ne profitent à personne ». Une mise au point qui ne sera malheureusement pas entendue par tous ceux qui ont perpétré ces actes de vandalisme et de casse. Le groupe explique qu’en bout de course, tout le monde devra payer pour ces exactions.
Vinci a également été victime de « dizaines d’actes de vandalisme » : glissières, caméras de sécurité, panneaux de signalisation en fait les frais de la colère des « gilets jaunes » et de casseurs. Les équipes du groupe ont également dû nettoyer les « campements » des manifestants, ce qui a représenté l’enlèvement de « centaines de tonnes de déchets ». Malgré l’affaiblissement des manifestations ce week-end, Vinci déplore des incendies volontaires dans plusieurs péages de Perpignan à Orange dans la nuit de samedi à dimanche.
Dans le communiqué, Vinci met les choses au clair : « Que les réparations soient prises en charge par les assurances, par l'Etat ou par Vinci Autoroutes, c'est dans tous les cas la collectivité qui est pénalisée par ces atteintes répétées portées aux biens publics, qui ne profitent à personne ». Une mise au point qui ne sera malheureusement pas entendue par tous ceux qui ont perpétré ces actes de vandalisme et de casse. Le groupe explique qu’en bout de course, tout le monde devra payer pour ces exactions.