(c) Shutterstock/EconomieMatin
Le PIB de la Grèce a enregistré une croissance de 1,7% en 2014, grâce aux deux derniers trimestres de l’année qui ont confirmé la hausse de l’activité : +1,6% au troisième trimestre, +0,4% au quatrième. Pas de quoi pavoiser donc, surtout que la comparaison trimestrielle est moins reluisante avec une variation de -0,2%.
Si les trois derniers mois de 2014 ont montré des signes d’essoufflement, le gouvernement grec estime que la croissance sera bel et bien au rendez-vous en 2015. Un espoir soutenu par la Commission européenne, qui pronostique une croissance de 2,5% en 2015, puis de 3,6% l’année prochaine. De quoi retrouver quelques marges de manœuvres dont le pays a terriblement besoin pour faire face à sa dette.
Néanmoins, prévient Bruxelles, il faudra que la Grèce poursuive ses efforts de rigueur et de redressement budgétaire. Un vœu pieux pour le moment, la Grèce et ses créanciers (notamment européens) cherchant un mécanisme permettant d’assouplir l’austérité qui frappe le pays depuis cinq ans.
Si les trois derniers mois de 2014 ont montré des signes d’essoufflement, le gouvernement grec estime que la croissance sera bel et bien au rendez-vous en 2015. Un espoir soutenu par la Commission européenne, qui pronostique une croissance de 2,5% en 2015, puis de 3,6% l’année prochaine. De quoi retrouver quelques marges de manœuvres dont le pays a terriblement besoin pour faire face à sa dette.
Néanmoins, prévient Bruxelles, il faudra que la Grèce poursuive ses efforts de rigueur et de redressement budgétaire. Un vœu pieux pour le moment, la Grèce et ses créanciers (notamment européens) cherchant un mécanisme permettant d’assouplir l’austérité qui frappe le pays depuis cinq ans.
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