Les chiffres donnés par la Fédération de l’industrie horlogère suisse (FH) sont clairs : les montres affichant l’estampille « Swiss made » ont été moins populaires en 2016. Sur les onze premiers mois de l’année dernière, les exportations affichent un recul net de 10%. Elles ont représenté 16,55 milliards d’euros. Parmi les raisons qui expliquent ce reflux, la baisse des ventes sur plusieurs marchés stratégiques, comme en Chine et à Hong Kong.
En Chine, les mesures visant à lutter contre la corruption a touché les produits de luxe, les montres suisses en premier lieu. Cette désaffection a touché les titres des principaux horlogers : l’action Swatch a connu une baisse annuelle de 9,5%, Richemont de 6,45%. De quoi affecter toute l’industrie de l’horlogerie traditionnelle, qui doit de plus faire face à l’émergence des montres connectées.
Toutefois, Jean-Claude Biver, qui dirige plusieurs marques du groupe LVMH, se veut confiant. « La nouvelle année apportera de la croissance à notre industrie. Les exportations vont se reprendre et augmenter à nouveau », assure-t-il au journal Schweiz am Sonntag. « Je vois une meilleure année pour la division montres de LVMH, même si nous pourrions toujours dégager une croissance de 4% en 2016 ».
En Chine, les mesures visant à lutter contre la corruption a touché les produits de luxe, les montres suisses en premier lieu. Cette désaffection a touché les titres des principaux horlogers : l’action Swatch a connu une baisse annuelle de 9,5%, Richemont de 6,45%. De quoi affecter toute l’industrie de l’horlogerie traditionnelle, qui doit de plus faire face à l’émergence des montres connectées.
Toutefois, Jean-Claude Biver, qui dirige plusieurs marques du groupe LVMH, se veut confiant. « La nouvelle année apportera de la croissance à notre industrie. Les exportations vont se reprendre et augmenter à nouveau », assure-t-il au journal Schweiz am Sonntag. « Je vois une meilleure année pour la division montres de LVMH, même si nous pourrions toujours dégager une croissance de 4% en 2016 ».