Pourtant, l’effort de l’État est massif : 41 milliards d’euros d’aides entre 2015 et 2017. Réductions d’impôts et baisses des cotisations sociales, contre des engagements sur le front de l’emploi. Le Medef avait, à cette occasion, fait fabriquer des pin’s « Un million d’emplois », qui devaient être créés suite à la baisse des charges. On en est très loin.
Le patronat préfère désormais parler de « confiance » : si le gouvernement devait revenir sur sa volonté de poursuivre l’effort, il prendrait le risque de briser le début de confiance nouée avec les entrepreneurs. En particulier à un moment où la croissance donne des signes encourageants.
Les premiers effets du Pacte de responsabilité ont toutefois permis de regarnir les marges des entreprises, de relancer la machine aux investissements, ou encore tout simplement… de ne pas licencier. Peu de conséquences visibles en somme, et surtout pas sur le front du taux de chômage. C’est pourquoi le gouvernement continue de faire pression sur les patrons pour qu’ils n’oublient pas les promesses…
Le patronat préfère désormais parler de « confiance » : si le gouvernement devait revenir sur sa volonté de poursuivre l’effort, il prendrait le risque de briser le début de confiance nouée avec les entrepreneurs. En particulier à un moment où la croissance donne des signes encourageants.
Les premiers effets du Pacte de responsabilité ont toutefois permis de regarnir les marges des entreprises, de relancer la machine aux investissements, ou encore tout simplement… de ne pas licencier. Peu de conséquences visibles en somme, et surtout pas sur le front du taux de chômage. C’est pourquoi le gouvernement continue de faire pression sur les patrons pour qu’ils n’oublient pas les promesses…