Les deux hommes politiques auraient trouvé un accord qui pourrait conduire Etihad à investir dans Alitalia et peut-être même dans la société qui gère les aéroports de Rome. Depuis ce week-end, une due diligence est entamée et les 30 prochains jours vont être cruciaux pour l’avenir de la compagnie aérienne.
Naturellement, cette alliance n’ira pas sans des sacrifices de la part d’Alitalia qui devrait, dans le cadre de cette due diligence, voir ses comptes épluchés par Etihad Airways. En jeu il y aurait un investissement de quelques 300 millions d’euros pour la seule compagnie aérienne, et quelques investissements de plus pour les aéroports de la capitale italienne.
Si l’accord est quasiment finalisé en théorie, il reste en effet la question des licenciements. Une question épineuse alors qu’en Italie le chômage est de 12,5% et a des difficultés à baisser.
Alitalia, dans son plan de réorganisation industrielle qui vise à faire des économies mais également à rendre plus attractive la compagnie aérienne, a annoncé quelques 1 900 suppression d’emplois dont quelques 280 pilotes, 350 assistants de vol ou encore 600 dans les postes administratifs.
La combinaison de cette réduction d’effectifs et des investissements d’Etihad pourrait sortir la compagnie d’une mauvaise passe et même lui rendre une certaine rentabilité sur le moyen terme. Une bonne nouvelle pour la société sur le bord de la faillite.
Naturellement, cette alliance n’ira pas sans des sacrifices de la part d’Alitalia qui devrait, dans le cadre de cette due diligence, voir ses comptes épluchés par Etihad Airways. En jeu il y aurait un investissement de quelques 300 millions d’euros pour la seule compagnie aérienne, et quelques investissements de plus pour les aéroports de la capitale italienne.
Si l’accord est quasiment finalisé en théorie, il reste en effet la question des licenciements. Une question épineuse alors qu’en Italie le chômage est de 12,5% et a des difficultés à baisser.
Alitalia, dans son plan de réorganisation industrielle qui vise à faire des économies mais également à rendre plus attractive la compagnie aérienne, a annoncé quelques 1 900 suppression d’emplois dont quelques 280 pilotes, 350 assistants de vol ou encore 600 dans les postes administratifs.
La combinaison de cette réduction d’effectifs et des investissements d’Etihad pourrait sortir la compagnie d’une mauvaise passe et même lui rendre une certaine rentabilité sur le moyen terme. Une bonne nouvelle pour la société sur le bord de la faillite.