Depuis le début de l’année, Airbus a engrangé 323 commandes nettes, avant prise en compte des éventuelles annulations. Ce volume est largement le fait du salon de Farnborough, qui a permis au groupe d’engranger 279 commandes et engagements. En tout, Airbus a engrangé 35 milliards de dollars au prix catalogue, soit l’équivalent de 31 milliards d’euros.
Signer des commandes, c’est une partie du travail. L’autre partie, qui est au moins aussi importante, c’est de livrer les avions : l’avionneur s’y est employé depuis les sept premiers mois de l’année, avec 339 unités livrées aux clients. Parmi ces avions, on trouve 15 A350, le nouveau long-courrier au catalogue, et 14 A380. Le très gros porteur ne semble pas rencontrer le succès escompté, c’est pourquoi sa production va se réduire au fil des mois, au grand dam des lignes de Toulouse.
Malgré tout, l’avenir s’annonce radieux pour Airbus et son concurrent américain Boeing. La démocratisation à venir des vols long-courrier à bas coût montre que le secteur aérien est loin d’avoir atteint son pic. L’activité que cela va générer chez les constructeurs ne risque pas de se tarir.
Signer des commandes, c’est une partie du travail. L’autre partie, qui est au moins aussi importante, c’est de livrer les avions : l’avionneur s’y est employé depuis les sept premiers mois de l’année, avec 339 unités livrées aux clients. Parmi ces avions, on trouve 15 A350, le nouveau long-courrier au catalogue, et 14 A380. Le très gros porteur ne semble pas rencontrer le succès escompté, c’est pourquoi sa production va se réduire au fil des mois, au grand dam des lignes de Toulouse.
Malgré tout, l’avenir s’annonce radieux pour Airbus et son concurrent américain Boeing. La démocratisation à venir des vols long-courrier à bas coût montre que le secteur aérien est loin d’avoir atteint son pic. L’activité que cela va générer chez les constructeurs ne risque pas de se tarir.