La CDU d'Angela Merkel et le SPD de Martin Schulz ont trouvé un terrain d'entente dans le but de former une nouvelle coalition. Il a fallu de nombreuses semaines de négociations entre les deux partis, alors que le SPD ne montrait aucun appétit pour gouverner une fois encore : le parti souhaitait en effet « une cure d'austérité ». Mais après l'échec des discussions entre la CDU et les libéraux, le SPD a fini par retrouver la table des négociations avec la Chancelière. Au bout d'une semaine de tractations, un document de 28 pages a été formalisé par les deux parties concernant l'accord de gouvernement.
Ce document n'est toutefois qu'une étape dans le processus. Il faudra maintenant un vote positif de la part du SPD, qui se réunira le 21 janvier. Le nouveau gouvernement, s'il parvient à se former malgré ces difficultés, n'entrera en fonction qu'en mars. Malgré tout, la nouvelle d'un accord de coalition, même fragile, a été saluée par les marchés qui ont porté l'euro au plus haut face au dollar en trois ans.
Côté français, on se réjouit également de cet accord. « Des bonnes nouvelles semblent venir d'Allemagne », a ainsi déclaré le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux. L'Europe est au cœur des propositions de la future coalition, qui a repris à son compte une bonne partie de la réforme de l'UE impulsée par Emmanuel Macron. « Ça permettra d'avoir un partenaire solide, avec lequel nous pourrons nous projeter sur les enjeux européens qui vont être nombreux dans les mois qui viennent », rapporte Benjamin Griveaux.
Ce document n'est toutefois qu'une étape dans le processus. Il faudra maintenant un vote positif de la part du SPD, qui se réunira le 21 janvier. Le nouveau gouvernement, s'il parvient à se former malgré ces difficultés, n'entrera en fonction qu'en mars. Malgré tout, la nouvelle d'un accord de coalition, même fragile, a été saluée par les marchés qui ont porté l'euro au plus haut face au dollar en trois ans.
Côté français, on se réjouit également de cet accord. « Des bonnes nouvelles semblent venir d'Allemagne », a ainsi déclaré le porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux. L'Europe est au cœur des propositions de la future coalition, qui a repris à son compte une bonne partie de la réforme de l'UE impulsée par Emmanuel Macron. « Ça permettra d'avoir un partenaire solide, avec lequel nous pourrons nous projeter sur les enjeux européens qui vont être nombreux dans les mois qui viennent », rapporte Benjamin Griveaux.