Avec une baisse du PIB de 0,1% durant les deux prochains trimestres, le Royaume-Uni va entrer techniquement en récession, même si celle-ci est légère. Avant le vote du 23 juin qui a abouti à la sortie du pays de l’Union européenne, les économistes interrogés par Reuters estimaient une croissance de 0,6% au deuxième trimestre.
Maintenant que le Brexit est bien acté, ces économistes ont revu leurs prédictions à la baisse, ce qui aboutit à une récession pour le pays pour la fin 2016. Le Royaume-Uni ne retrouverait le chemin de la croissance que l’année prochaine, et les analystes ne se montrent pas particulièrement optimistes puisqu’ils prévoient une croissance faible.
Cette croissance en berne sera le fait de la baisse des investissements des entreprises, préviennent-ils. En cause, l’absence de visibilité sur les négocations avec l’Union européenne, qui pourraient durer jusqu’en 2019. Les autorités et la Banque d’Angleterre, bien conscientes des difficultés à venir, ont déjà commencé à prendre les devants. Mais cela sera-t-il suffisant ?
Maintenant que le Brexit est bien acté, ces économistes ont revu leurs prédictions à la baisse, ce qui aboutit à une récession pour le pays pour la fin 2016. Le Royaume-Uni ne retrouverait le chemin de la croissance que l’année prochaine, et les analystes ne se montrent pas particulièrement optimistes puisqu’ils prévoient une croissance faible.
Cette croissance en berne sera le fait de la baisse des investissements des entreprises, préviennent-ils. En cause, l’absence de visibilité sur les négocations avec l’Union européenne, qui pourraient durer jusqu’en 2019. Les autorités et la Banque d’Angleterre, bien conscientes des difficultés à venir, ont déjà commencé à prendre les devants. Mais cela sera-t-il suffisant ?