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L’idée est simple : mettre à profit les places de parking laissées vacantes dans les immeubles privés. Les particuliers pourraient profiter de ces emplacements, tandis que les opérateurs et les propriétaires engrangeraient les revenus. Du donnant-donnant donc, mais encore faut-il s’entendre.
Plusieurs initiatives commencent à fleurir, notamment à Paris où la situation est particulièrement critique. Vinci Park a lancé une offre dans la capitale avec le bailleur privé Paris Habitat-OPH. Trois parkings seulement sont concernés pour le moment, soit une centaine de places… mais ce n’est qu’un début pour ce qui est considéré comme un test grandeur nature.
Effia, filiale de Keolis, veut de son côté développer une technologie avec des start-ups, plutôt que de se lancer seul sur ce créneau. La croissance est potentiellement très forte car la demande de parking est clairement là… reste cependant à lever des obstacles légaux, comme les normes incendie qui restreignent les possibilités et la souplesse de telles offres.
Plusieurs initiatives commencent à fleurir, notamment à Paris où la situation est particulièrement critique. Vinci Park a lancé une offre dans la capitale avec le bailleur privé Paris Habitat-OPH. Trois parkings seulement sont concernés pour le moment, soit une centaine de places… mais ce n’est qu’un début pour ce qui est considéré comme un test grandeur nature.
Effia, filiale de Keolis, veut de son côté développer une technologie avec des start-ups, plutôt que de se lancer seul sur ce créneau. La croissance est potentiellement très forte car la demande de parking est clairement là… reste cependant à lever des obstacles légaux, comme les normes incendie qui restreignent les possibilités et la souplesse de telles offres.