La première place du luxe
Alain Chevalier, l'un des fondateurs du groupe numéro un mondial du luxe LVMH (Louis Vuitton Moët Hennessy), est décédé le 1er novembre, a annoncé l'Elysée dimanche soir dans un communiqué. "Il a mis son intelligence et son talent au service de la politique et de l'industrie, contribuant par sa vision et sa détermination à installer la France à la première place dans le domaine du luxe."
M. Chevalier était un "pied-noir d'Algérie, resté jusqu'au bout fidèle au souvenir de sa terre natale. (…) Un homme de culture et de liberté, fidèle non à un homme ou à un parti, mais à ce qu'il croyait juste et vrai", rappelle l'Elysée.
M. Chevalier était un "pied-noir d'Algérie, resté jusqu'au bout fidèle au souvenir de sa terre natale. (…) Un homme de culture et de liberté, fidèle non à un homme ou à un parti, mais à ce qu'il croyait juste et vrai", rappelle l'Elysée.
Les prémices du groupe LVMH
Les sociétés Moët Hennessy et Louis Vuitton, "rassemblaient déjà sous sa direction certaines des marques les plus prestigieuses dans les domaines des vins et spiritueux, de la mode, de la parfumerie et des cosmétiques. De merveilleuses ambassadrices de l'élégance et du raffinement français."
C’est en 1987, alors qu’il était à la tête de Moët Hennessy qu’il rapproche son entreprise du groupe Louis Vuitton, présidé par Henry Racamier. Deux ans plus tard, le nouveau groupe, rebaptisé LVMH, passait sous le contrôle de Bernard Arnault.
C’est en 1987, alors qu’il était à la tête de Moët Hennessy qu’il rapproche son entreprise du groupe Louis Vuitton, présidé par Henry Racamier. Deux ans plus tard, le nouveau groupe, rebaptisé LVMH, passait sous le contrôle de Bernard Arnault.
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