Une liste qui s'allonge
Depuis ce samedi 20 mars, 16 départements français sont de nouveau sous cloche. Un confinement allégé par bien des aspects, le gouvernement ayant invité les quelque 20 millions de Français concernés à sortir le plus possible, sans attestation la journée. Par ailleurs, les écoles restent ouvertes et la liste des commerces jugés essentiels, autrement dit qui peuvent poursuivre leurs activités, s'est fortement allongée. Les opticiens et les chocolatiers l'avaient rejoint en novembre au moment du second confinement.
Pour cette nouvelle épreuve, la liste s'est élargie aux fleuristes, aux jardineries, aux coiffeurs, aux cabinets d'avocats et de notaires, aux libraires ainsi qu'aux disquaires. Mais cela exclut d'autres professions comme les magasins de prêt-à-porter ou encore les salons d'esthétique. Au micro de RTL, Bruno Le Maire a fait savoir que sa porte n'était pas fermée : « Je ne dis pas que c'est parfait (…) Nous regarderons si des choses peuvent être améliorées ». Le gouvernement s'engage ainsi à regarder chaque situation, « pour voir s'il y en a qui doivent être corrigées ».
Pour cette nouvelle épreuve, la liste s'est élargie aux fleuristes, aux jardineries, aux coiffeurs, aux cabinets d'avocats et de notaires, aux libraires ainsi qu'aux disquaires. Mais cela exclut d'autres professions comme les magasins de prêt-à-porter ou encore les salons d'esthétique. Au micro de RTL, Bruno Le Maire a fait savoir que sa porte n'était pas fermée : « Je ne dis pas que c'est parfait (…) Nous regarderons si des choses peuvent être améliorées ». Le gouvernement s'engage ainsi à regarder chaque situation, « pour voir s'il y en a qui doivent être corrigées ».
Liquidation des stocks
Les salons d'esthétique par exemple pourraient obtenir le feu vert : ces derniers estiment pouvoir être rangés dans la même catégorie que les coiffeurs. Quant au prêt-à-porter, les commerçants pourraient être autorisés à liquider leurs stocks en dehors de la période des soldes. « Nous travaillons sur la liquidation des stocks normalement réservée à la période de soldes. Ce qui voudrait dire que les commerçants pourraient liquider leur stock en avril alors que nous ne serons pas en période de soldes », détaille le ministre de l'Économie.
Depuis ce week-end, Bercy s'est rapproché des commerçants touchés par le confinement. « Je garderai le même esprit de dialogue et d’ouverture qui m’anime depuis le début de cette crise », ajoute Bruno Le Maire. Ce dernier rappelle néanmoins que la fermeture des commerces a été décidée pour réduire la limitation des personnes dans des lieux clos, afin de réduire les cas de contamination.
Depuis ce week-end, Bercy s'est rapproché des commerçants touchés par le confinement. « Je garderai le même esprit de dialogue et d’ouverture qui m’anime depuis le début de cette crise », ajoute Bruno Le Maire. Ce dernier rappelle néanmoins que la fermeture des commerces a été décidée pour réduire la limitation des personnes dans des lieux clos, afin de réduire les cas de contamination.