Ce serait sans doute une belle performance pour François Hollande s’il réussissait, avant la fin de son quinquennat qui se termine en 2017, à faire baisser le chômage de manière significative, notamment en le faisant chuter en dessous d’un palier symbolique : celui des trois millions de chômeurs de catégorie A.
François Rebsamen s’est donc fixé cet objectif qui est somme toute faisable. Sachant que les derniers chiffres de Pôle Emploi parlent de 3,349 millions de chômeurs en mars, il serait question de créer pas moins de 350 000 emplois en l’espace de trois ans, soit, en moyenne, environ 115 000 emplois par an.
Le ministre du travail compte bien entendu fortement sur le Pacte de responsabilité signé avec les entreprises françaises pour réussir à tenir ces objectifs. A lui seul, le pacte devrait créer quelques 200 000 emplois soit plus que la moitié de l’objectif du gouvernement. Mais il restera tout de même 150 000 emplois à créer, si ce n’est plus.
En effet, divers dossiers pourraient avoir comme conséquence une hausse du chômage. Par exemple, la fusion SFR Numericable qui a déjà entraîné l’annonce d’une suppression de 2 000 emplois chez Bouygues Telecom et qui pourrait, à terme, être la cause d’autres suppressions.
Ou encore le dossier concernant la cession de la branche énergétique d’Alstom à General Electric ou à Siemens : la question, encore ouverte, fera tomber Alstom sous pavillon étranger ce qui pourrait également se traduire par une réduction des effectifs.
François Rebsamen s’est donc fixé cet objectif qui est somme toute faisable. Sachant que les derniers chiffres de Pôle Emploi parlent de 3,349 millions de chômeurs en mars, il serait question de créer pas moins de 350 000 emplois en l’espace de trois ans, soit, en moyenne, environ 115 000 emplois par an.
Le ministre du travail compte bien entendu fortement sur le Pacte de responsabilité signé avec les entreprises françaises pour réussir à tenir ces objectifs. A lui seul, le pacte devrait créer quelques 200 000 emplois soit plus que la moitié de l’objectif du gouvernement. Mais il restera tout de même 150 000 emplois à créer, si ce n’est plus.
En effet, divers dossiers pourraient avoir comme conséquence une hausse du chômage. Par exemple, la fusion SFR Numericable qui a déjà entraîné l’annonce d’une suppression de 2 000 emplois chez Bouygues Telecom et qui pourrait, à terme, être la cause d’autres suppressions.
Ou encore le dossier concernant la cession de la branche énergétique d’Alstom à General Electric ou à Siemens : la question, encore ouverte, fera tomber Alstom sous pavillon étranger ce qui pourrait également se traduire par une réduction des effectifs.