Le premier contrat couvre la période 2016 à 2019, le second les années 2016 à 2020. L'UFC-Que Choisir reproche aux trois acteurs de faire bien peu de cas des usagers en cas de retards répétés. L'association estime en effet que loin de mettre en place des remboursements automatiques qu'elle appelle de ses vœux, les contrats se cantonnent à « un droit discrétionnaire » des présidents des entreprises à accorder aux abonnés un remboursement « limité à la valeur d'un demi abonnement mensuel par abonné et par année civile » et ce, « sur une période exceptionnellement longue, appréciés par leurs seuls soins ».
Autant dire que les entreprises publiques ont décidé de s'éviter bien des embêtements et de gérer entre elles la problématique du remboursement en cas de retards répétés, sans mettre en place un processus systématique et contraignant. On est loin de l'exigence de l'UFC-Que Choisir qui veut que soit mise en œuvre une tarification adaptée à la qualité du service offert, c'est à dire « une baisse automatique du prix de l'abonnement pour le mois suivant ».
En cette période d'élections régionales, l'association veut mettre la pression sur les candidats pour qu'ils s'engagent à améliorer le sort des usagers des transports publics.
Autant dire que les entreprises publiques ont décidé de s'éviter bien des embêtements et de gérer entre elles la problématique du remboursement en cas de retards répétés, sans mettre en place un processus systématique et contraignant. On est loin de l'exigence de l'UFC-Que Choisir qui veut que soit mise en œuvre une tarification adaptée à la qualité du service offert, c'est à dire « une baisse automatique du prix de l'abonnement pour le mois suivant ».
En cette période d'élections régionales, l'association veut mettre la pression sur les candidats pour qu'ils s'engagent à améliorer le sort des usagers des transports publics.