Si on se sent pousser l'optimisme, on peut se réjouir de voir l'Hexagone progresser d'une place dans le classement 2016/2017 des pays les plus compétitifs, puisque la France se positionne à la 21e place. Celui qui broie du noir ne pourra que constater que la France est bien loin de la quinzième place qu'elle occupait en 2010… Elle est encore plus éloignée du trio de tête, composé de la Suisse, de Singapour et des États-Unis, un podium inchangé depuis l'an dernier.
Le pays profite d'une part de l'amélioration de l'environnement macro-économique, d'autre part de la plus grande « sophistication » des entreprises. Tout cela participe de la compétitivité tricolore, à laquelle s'ajoute la réduction des déficits publics. Le gouvernement prévoit d'ailleurs 2,7% pour 2017, encore plus bas donc que les 3% exigés par Bruxelles.
La France rencontre toujours de sérieux écueils. Le premier d'entre eux est la dette publique, qui pèse toujours sur les comptes du pays. Et il y a une inflation qui ne parvient pas à décoller. Tout cela constitue un « important frein économique » pour les quelques 140 000 chefs d'entreprises interrogés par le Forum.
Le pays profite d'une part de l'amélioration de l'environnement macro-économique, d'autre part de la plus grande « sophistication » des entreprises. Tout cela participe de la compétitivité tricolore, à laquelle s'ajoute la réduction des déficits publics. Le gouvernement prévoit d'ailleurs 2,7% pour 2017, encore plus bas donc que les 3% exigés par Bruxelles.
La France rencontre toujours de sérieux écueils. Le premier d'entre eux est la dette publique, qui pèse toujours sur les comptes du pays. Et il y a une inflation qui ne parvient pas à décoller. Tout cela constitue un « important frein économique » pour les quelques 140 000 chefs d'entreprises interrogés par le Forum.