La Banque de France a publié son enquête de conjoncture pour avril. L’institution a calculé que la progression du PIB au second trimestre sera de 0,3%. C’est 0,1 point de moins que l’estimation de l’Insee, qui table sur une hypothèse de 0,4% pour la période entre avril et fin juin. Si la France atteignait effectivement 0,3% de croissance au deuxième trimestre, le pays maintiendrait le même niveau que durant les trois premiers mois de l’année. Le rythme de croissance serait donc inchangé d’un trimestre à l’autre, ce qui au vu de la performance attendue des voisins européens demeure un résultat relativement solide. Le gouvernement table sur un taux de croissance de 1,4% sur l’ensemble de l’année.
La note de conjoncture de la Banque de France montre un recul du climat des affaires dans l’industrie : en avril, l’indice passe à 99, soit un point de moins par rapport au mois de mars. Depuis le début de l’année, c’est la première fois qu’il passe sous le seuil des 100. En avril, la production industrielle a calé, tout particulièrement dans les domaines automobiles et du caoutchouc-plastique. Les capacités de production tournent à un peu moins de 80% (79,6% exactement).
La bonne nouvelle, c’est que les industriels s’attendent à une reprise de leur activité pour le mois de mai. Les indicateurs des secteurs des services et du bâtiment baissent également d’un point chacun, à respectivement 100 et 105. En mai, l’activité dans les services devrait repartir plus franchement en mai, après une progression modérée en avril. Le carnet de commandes demeure élevé dans le secteur du bâtiment, même si l’activité accuse une baisse en avril. Là aussi, le mois de mai devrait être l’occasion d’une progression.
La note de conjoncture de la Banque de France montre un recul du climat des affaires dans l’industrie : en avril, l’indice passe à 99, soit un point de moins par rapport au mois de mars. Depuis le début de l’année, c’est la première fois qu’il passe sous le seuil des 100. En avril, la production industrielle a calé, tout particulièrement dans les domaines automobiles et du caoutchouc-plastique. Les capacités de production tournent à un peu moins de 80% (79,6% exactement).
La bonne nouvelle, c’est que les industriels s’attendent à une reprise de leur activité pour le mois de mai. Les indicateurs des secteurs des services et du bâtiment baissent également d’un point chacun, à respectivement 100 et 105. En mai, l’activité dans les services devrait repartir plus franchement en mai, après une progression modérée en avril. Le carnet de commandes demeure élevé dans le secteur du bâtiment, même si l’activité accuse une baisse en avril. Là aussi, le mois de mai devrait être l’occasion d’une progression.