Actuellement, chaque assuré versé au FGTI un montant de 4,3 euros par an sur son contrat d’assurance d’un bien. Or, cette somme n’est pas suffisante pour faire face à la recrudescence des actes de terrorisme en France ces deux dernières années, prévient Jacques de Peretti. Le Fonds sert à indemniser les victimes d’actes de terrorisme, ainsi que les ayants droit de personnes décédées.
Jusqu’à présent, le fonds de garantie, créé en 1986, déboursait « moins de 10 millions par an », détaille le responsable d’Axa. Mais aujourd’hui, « c’est à plusieurs centaines de millions d’euros auquel le fonds doit faire face » s’alarme-t-il. Il s’agit donc d’un nouveau besoin de financement, après une précédente hausse datée du 30 octobre dernier. Les assureurs travaillent avec les pouvoirs publics pour surmonter cette difficulté.
Parmi les pistes de travail envisagées, on trouve évidemment la hausse de la taxe prélevée sur les contrats. Mais d’autres contributions pourraient émerger. Une réflexion est en tout cas en cours. Jacques de Peretti s’est toutefois voulu rassurant : la mission du FGTI n’est pas remise en cause ; il faut simplement procéder à « des ajustements » rendus nécessaires par la situation actuelle.
Jusqu’à présent, le fonds de garantie, créé en 1986, déboursait « moins de 10 millions par an », détaille le responsable d’Axa. Mais aujourd’hui, « c’est à plusieurs centaines de millions d’euros auquel le fonds doit faire face » s’alarme-t-il. Il s’agit donc d’un nouveau besoin de financement, après une précédente hausse datée du 30 octobre dernier. Les assureurs travaillent avec les pouvoirs publics pour surmonter cette difficulté.
Parmi les pistes de travail envisagées, on trouve évidemment la hausse de la taxe prélevée sur les contrats. Mais d’autres contributions pourraient émerger. Une réflexion est en tout cas en cours. Jacques de Peretti s’est toutefois voulu rassurant : la mission du FGTI n’est pas remise en cause ; il faut simplement procéder à « des ajustements » rendus nécessaires par la situation actuelle.